A New York, des oeuvres d'art se glissent dans les vitrines des magasins désertés
Des oeuvres d'artistes locaux exposés dans une vitrine à louer, le 28 novembre 2020 à New York
Les dirigeants américain et russe se sont entretenus par téléphone, mardi, pour la première fois depuis l’investiture de Joe Biden. Selon la Maison-Blanche, ils ont évoqué le désarmement, mais aussi “Alexeï Navalny” et la récente cyberattaque géante aux États-Unis.
Du fait de son tout jeune âge, il ne peut pas encore participer aux compétitions internationales de FIFA, qui sont interdites aux moins de 16 ans. Qu'à cela ne tienne, du haut de ses 14 piges, le Norvégien Anders Vejrgang a décidé de rouler sur le mode en ligne le plus populaire et le plus compétitif de la célèbre simulation de foot : FUT Champions. Avec 450 victoires consécutives dans cette compétition de 30 matchs qui se déroule chaque week-end, il est tout simplement invaincu depuis la sortie du nouvel opus en octobre dernier et établit chaque semaine un nouveau record du monde. Entretien avec un gamin plus fort que toi à FIFA.À ce jour, tu comptes 450 victoires d'affilée dans la Ligue Week-End de FUT Champions. Tu te rends compte à quel point c'est dingue ? C'est un ...
Fils d'un soldat qui n'aimait guère le foot, Wilfred Ndidi a grandi dans le quartier militaire d'Ikeja, à Lagos. Mais grâce à sa mère et une éducation à la dure, le milieu défensif nigérian est devenu un joueur accompli à Genk, puis une pointure de Premier League à Leicester.En cette rentrée scolaire 2018, le bachelor en gestion d'entreprises de l'université de Montfort, à Leicester, accueille sa nouvelle promotion. ...
La carrière de Bacary Sagna est remplie de souvenirs. Dix ans en Angleterre, dix ans en équipe de France et des aventures en Italie et au Canada. Depuis Montréal, où il vit depuis trois ans, le latéral droit de 34 ans raconte sa vie sans concessions. Entretien avec les plus belles nattes colorées de l'équipe de France.Avant d'aborder ta carrière, parlons de ton dernier projet : un restaurant, American Tasty Burger, en région parisienne. Comment t'es-tu lancé ? ...
L'ANTISECHE - La cour d'appel de Paris doit dire mercredi si elle renvoie l'unique suspect de l'attentat de la rue Copernic devant une cour d'assises, mais de quoi parle-t-on exactement? Chaque jour, l'antisèche du JDD vous explique une notion simple pour comprendre l'actualité.
D'après une étude menée par des scientifiques français et américains, le coronavirus peut aussi s'attaquer aux neurones. Le virus cause des lésions dans les vaisseaux situés dans le cerveau, ce qui pourrait expliquer les symptômes vus chez certains malades, comme des maux de tête, des pertes de repères et parfois même des convulsions.
L'équipe de NBA du Miami Heat va accueillir 2.000 supporters, jeudi, à l'intérieur de l'American Airlines Arena. Des chiens renifleurs vont être utilisés pour détecter le Covid-19.
Dans un pays où le taux de fécondité par femme frôle les cinq enfants, l'information sur "la santé sexuelle et reproductive" passe par des émissions de radio et des séries télé. Au micro ou dans un script, on dénonce, on alerte. Soumission, violences conjugales, croyances... Ces rendez-vous sont très populaires. Malgré des freins culturels et religieux, l'impact positif de ces reproductions sur les droits des femmes et l'émancipation de la jeunesse est loin d'être une fiction. Enquête.
VERDICT - L’ancien joueur du Stade de Reims avait frappé avec une batte de base-ball un lycéen de 19 ans en décembre 2016
L’épidémie de coronavirus a franchi un nouveau cap symbolique mardi soir, avec plus de 100 millions de personnes officiellement contaminées. Aux Etats-Unis, Joe Biden a promis un effort de guerre sur la vaccination. En France, de nouvelles mesures pourraient être prises en conseil de défense mercredi matin. Suivez l’évolution de la situation en direct.
De son vrai nom Tarik Andrieu, il comparaît ce mercredi au tribunal correctionnel de Paris, après une interpellation mouvementée à Paris, en septembre dernier.
Jean Graton, l'auteur français qui avait créé à la fin des années 1950 la bande dessinée Michel Vaillant, est inhumé mercredi 27 janvier à Bruxelles, une semaine après sa mort à l'âge de 97 ans. La série, qui racontait les aventures d'un pilote de course automobile, s'est déclinée en 79 tomes avec au total quelque 25 millions d'albums vendus dans le monde. Son fils Philippe, qui signe les scénarios de Michel Vaillant depuis plus de 15 ans, nous raconte comment la saga, et son père, sont devenus cultes.
CHOIX - Pour trancher sur les nouvelles mesures sanitaires, le gouvernement semble vouloir attendre d’examiner vendredi l’impact du couvre-feu et la progression des variants du virus
Plus de deux mois et demi après leur départ, le 8 novembre, des Sables-d'Olonne, les premiers voiliers du Vendée Globe sont de retour mercredi dans le port vendéen après 79 jours de course. Mais attention : le premier à franchir la ligne d'arrivée ne sera pas forcément le gagnant de la compétition.
Qu’est-ce que Railcoop ? Merci d'avoir posé la question ! Railcoop est une jeune société ferroviaire française qui entend investir dans le train : trains entre régions mal reliées, trains de nuit, et même trains de marchandises. Les premiers passagers pourraient embarquer à bord d’un train railcoop Lyon-Bordeaux en 2022. Depuis le 13 décembre 2020, la SNCF n’a plus le monopole des rails en France : le trafic ferroviaire est ouvert à la concurrence. Cette forme de privatisation des transports est critiquée d’une part : on craint les effets sur les prix, sur la qualité des services, sur les rémunérations des travailleurs, sur les lignes peu rentables....Mais quelle est l'avantage de Railcoop ? Mais pour certains, il y a justement là une opportunité : investir là où la SNCF s’est désinvestie depuis des années. C’est ainsi qu’est née Railcoop en 2019, rassemblant des acteurs de l’économie sociale et solidaire, et des experts des questions de climat et mobilité. Le tout sur un modèle coopératif : n’importe qui peut acheter une part de l’entreprise pour 100 euros et devenir sociétaire. Chaque sociétaire possède une voix dans l’entreprise, quel que soit le nombre de parts qu’il possède.Et ils vont proposer quoi concrètement ? Les trajets ne seront-ils pas beaucoup plus longs ? En quoi est-ce bon pour la planète ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez".Un podcast écrit et réalisé par Quentin Tenaud.A écouter aussi : Qu'est-ce que le flygskam ?Qu'est-ce que le green new deal ?Qu'est-ce que la taxe kerosene ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.Découvrez le podcast sur BababamA écouter aussi :Qu’est-ce que Parler ?Qu'est-ce que le VOC2020 ?Qu'est-ce que la neurasthénie ?
La monnaie commune aux pays de la Cédéao pourrait ne pas voir le jour avant 2025, au mieux. C'est ce qui ressort des débats tenus ce dimanche par les dirigeants de la Cédéao réunis en sommet ordinaire. Les chefs d'État ont décidé de repousser à janvier 2022 la reprise de l'application de leur pacte de convergence, à cause de la pandémie de Covid-19 qui a obligé les pays ouest-africains à accroitre leurs dépenses. Déjà suspendues pour 2020, les mesures de convergence ont aussi été gelées par les chefs d'État pour l'ensemble de l'année 2021. Un nouveau pacte de convergence doit être discuté par les pays de la Cédéao. Il entrera en vigueur au 1er janvier 2022. L'organisation ouest-africaine s'en explique par le fait que la pandémie entraine des dépenses supplémentaires, ce qui éloigne les gouvernements de l'application des critères notamment sur la dette et le déficit budgétaire.Dès lors que la convergence ne reprendra qu'en 2022, la monnaie commune est ajournée. En effet, le ministre burkinabè de l'Economie explique dans la presse qu'il faut trois ans de convergence pour envisager le lancement de l'éco, ce qui repousse sa date d'entrée en vigueur à 2025.Beaucoup d'économistes ouest-africains posent donc une question : ce report de l'éco n'est-il pas surtout un aveu d'échec ? Dans les colonnes du quotidien Sidwaya, l'économiste burkinabé Ousséni Illy souligne les clivages existants entre les pays de l'UEMOA et les autres, en particulier le Nigeria.Clivage qui bloque le processus d'intégration monétaire. En effet, que ce soit sur les statuts de la future Banque centrale ou le régime de change de la monnaie commune, les dirigeants n'ont pas avancé. Le risque étant de laisser le doute sur la volonté politique s'installer dans l'opinion.
Sorti de l’Union européenne, le Royaume-Uni cherche désormais à réaffirmer ses relations bilatérales. C’est notamment le cas avec le Kenya, son partenaire de longue date. Les deux pays ont ainsi annoncé lundi 25 janvier la signature d’un accord de défense pour faire face aux menaces sécuritaires de l’Afrique de l’Est. Avec notre correspondante à Nairobi, Albane ThirouardRenforcer la coopération entre les deux pays pour assurer la stabilité de la corne de l’Afrique, c’est l’objectif du nouvel accord signé lundi entre Londres et Nairobi. Les deux pays ont notamment insisté sur leur volonté de lutter conjointement contre le terrorisme dans la région.« Nous devons travailler ensemble pour faire face à la menace des islamistes shebab, et la vaincre ici au Kenya, mais aussi au Royaume-Uni », a ainsi déclaré Ben Wallace, secrétaire d’État à la Défense britannique. En visite pour deux jours dans le pays, il a rencontré lundi le ministre de l’Intérieur kényan, Fred Matiang’i. Ensemble, ils ont discuté d’une approche commune pour faire face aux menaces sécuritaires en Afrique de l’Est.Cet accord entre Londres et Nairobi vient renforcer un pacte de sécurité déjà mis en place en 2015, puis renouvelé en 2018. Il s'inscrit dans un contexte post-Brexit où les Britanniques cherchent à réaffirmer leurs partenariats après avoir quitté l’Union européenne. Début décembre, Londres et Nairobi avaient ainsi déjà signé un accord bilatéral visant à limiter l’impact du Brexit sur leurs échanges commerciaux.
Les forces armées centrafricaines et leurs alliés, Minusca, Russes et Rwandais, ont entamé ces derniers jours une contre-offensive pour repousser la pression des forces rebelles autour de Bangui. Pour ce faire, des véhicules ont été réquisitionnés dans la capitale, parfois même ceux appartenant à des entreprises ou des particuliers. Le point sur la situation. Avec notre envoyée spéciale à Bangui, Florence MoriceLundi, les FACA et leurs alliés ont notamment repris la ville de Boda et tentent aussi de libérer l'axe qui mène au Cameroun pour contrer la tentative des rebelles d'asphyxier Bangui en empêchant le ravitaillement du pays en provenance du Cameroun. « Cette contre-offensive a pour but de stopper ou d'annihiler les bases arrières pour destructurer ces groupes armés », explique Ange Maxime Kazagui, porte-parole du gouvernement centrafricain.C'est dans ce contexte que les autorités centrafricaines ont lancé lundi dernier une campagne de réquisitions de véhicules 4x4 à Bangui. L'opération a suscité des interrogations et des inquiétudes dans la capitale. L'objectif ? Transporter des troupes dans le cadre de la contre offensive lancée par les FACA et ses alliées pour tenter de faire reculer la rébellion CPC et ouvrir le corridor qui relie Bangui au Cameroun. Et cette opération n'est censée concerner que les véhicules des administrations publiques. Il s'agit, selon le porte-parole du gouvernement Ange-Maxime Kazagui, d'une nécessité.
S’exprimant lors du Forum économique mondial de Davos, Cyril Ramaphosa a mis en garde contre tout nationalisme dans les stratégies d’acquisition du vaccin. « Les pays riches de ce monde ont acheté de très grandes quantités de vaccins. Certains, quatre fois plus que ce dont ils ont besoin », a déploré le président sud-africain dont le pays est le plus touché du continent par l’épidémie de Covid avec plus d’1,4 million de cas et 41 000 décès.Alors que les campagnes de vaccination ont commencé à travers le monde, l’Afrique du Sud attend toujours ses premiers vaccins.1,5 million de doses ont été achetées auprès d’un laboratoire indien et devraient être livrés dans les prochains jours. À peine de quoi vacciner la moitié des professionnels de la santé.► Lire aussi : Covid-19: l'Afrique du Sud veut vacciner 67% de sa population en 2021Pour le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, il faut un accès équitable aux vaccins. « Nous leur disons : "mettez à disposition les doses excédentaires que vous avez commandées et mises de côté. Il n’y a absolument aucune raison pour qu’un pays de 40 millions d’habitants achètent 120 millions de doses. Cela se fait au détriment de certains pays qui en ont le plus besoin". »Un appel qui fait écho aux avertissements de l'Organisation mondiale de la santé. Son directeur avait déjà appelé les pays riches à ne pas « couper la file ». Et mettre à disposition des pays pauvres leurs doses excédentaires par le biais du mécanisme Covax.Ce dispositif de l'OMS doit permettre de vacciner 20% de la population du continent africain avant la fin de l'année.
Le Comité national de salut pour le peuple (CNSP), organe créé par les militaires putschistes du 18 août dernier au Mali, est officiellement dissous. C'est ce qu'indique un décret signé notamment par le président de transition et le Premier ministre Moctar Ouane. La Communauté économique des États de l'Afrique de l'ouest (Cédéao) avait encore récemment demandé avec insistance la dissolution de cet organe qui renforçait le pouvoir des militaires. Même si cette dissolution est un événement, les militaires n'ont pas totalement disparu. Avec notre correspondant à Bamako, Serge Daniel Le CNSP est désormais officiellement dissous, mais ses principaux responsables militaires ne sont ni retournés dans les camps ni au chômage. Par exemple, l’ex-président du CNSP, le colonel Assimi Goïta, occupe déjà le poste de vice-président de la Transition, il est le numéro 2 du régime. L’ancien vice-président du comité dissous, le colonel Malick Diaw, est quant à lui, déjà à la tête du Conseil national de transition, organe législatif. D’autres grosses pointures de l’ex-junte occupent depuis un moment des postes régaliens au sein du gouvernement.Malgré tout, la dissolution du CNSP est un évènement. Les pressions diplomatiques de la Cédéao ont donné des résultats. Ensuite, Kati, ville-garnison située près de Bamako et fief de l’ex-junte sera de moins en moins une direction prisée. Par ailleurs, ici des hommes politiques espèrent avoir maintenant des coudées plus franches avec les militaires.Et si tout fonctionne comme prévu, on prend un virage pour le retour des civils au pouvoir. Les membres du Conseil national de transition travaillent actuellement sur les textes qui doivent conduire à des élections transparentes. Il reste à associer à ce travail une importante partie de la classe politique malienne non représentée au CNT.Cette dissolution, réclamée avec insistance par la Cédéao, intervient la veille de la visite du président Bah N'Daw à Paris (lire encadré). Comment réagit l'opposition à cette annonce ?■ Le président N'Daw à Paris, un signal fort envoyé par la FranceLe sommet du G5 Sahel aura lieu dans trois semaines, les 15 et 16 février prochains, à N’Djamena. Pour préparer ce rendez-vous, Emmanuel Macron reçoit depuis mi-janvier ses homologues sahéliens. Après Idriss Déby la semaine dernière, c’est au tour de Bah N’Daw le président de transition de malien d’être reçu ce mercredi à l’Élysée. Cette visite inattendue est un signal fort envoyé par la France aux nouvelles autorités maliennes.C’est accompagné d’une partie de son cabinet et de son ministre des Affaires étrangères que le président de transition malien a atterri hier à Paris. Bah N’Daw sera reçu à l’Élysée en début d’après-midi pour un déjeuner de travail avec Emmanuel Macron. Une entrevue qui s’inscrit dans la lignée des rendez-vous avec les présidents Ghazouani, Issoufou et Déby, minimise-t-on dans l’entourage du président français.Sauf que cette visite n’est pas si anodine. C’est la première fois que Bah N’Daw sera reçu par le président d’un pays hors Cédéao. L’Élysée a même décidé pour l’occasion d’ouvrir la cour du palais présidentiel à la presse et d’officialiser sa venue par un communiqué. En l’accueillant avec maints égards, Paris offre ainsi une sorte de reconnaissance internationale à un président qui a été propulsé à la tête du pouvoir malien par une junte militaire.Y a-t-il eu des engagements de Bamako en échange ? Les autorités maliennes ont annoncé hier soir la dissolution du CNSP, l’organe formé par les militaires qui avait renversé Ibrahim Boubacar Keita en août dernier. C’était une demande de la Cédéao. En début de semaine, une délégation ministérielle s’est rendue à Kidal pour relancer notamment les accords de paix d’Alger. Or, Paris milite depuis des années pour leur mise en œuvre rapide. De quoi certainement satisfaire la France à la veille de cette visite.