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Italie : croissance fragile avant un référendum incertain

À quelques jours d’un référendum crucial, l‘économie italienne montre des signes positifs avec un PIB en hausse de 0,3 % au troisième trimestre et de 1 % sur un an. Dimanche, les Italiens seront appelés à se prononcer sur une réforme de la Constitution, or la perspective d’une victoire du “non”, annoncée par les sondages, pourrait gripper cette croissance fragile et avoir un effet contagion sur la zone euro. “Les conséquences du vote ne sont pas très claires. On ne peut pas dire, si les Italiens votent “oui”, l’euro survit, s’ils votent “non”, l’euro meurt. C’est bien plus compliqué que cela. Ce que je perçois en revanche de manière certaine, ce sont des problèmes majeurs pour l’euro à l’avenir si l’Italie ne mène pas les réformes nécessaires pour régler le problème de la dette qui est insoutenable”, souligne Giovanni Orsina de l’Université LUISS à Rome. La dette publique italienne atteint 133 % du PIB, soit la deuxième plus élevée de la zone euro. Elle est détenue en partie par les banques qui suscitent de nombreuses inquiétudes du fait du volume important des créances douteuses, qui représentent 360 milliards d’euros, selon la Banque d’Italie, soit environ 20 % du PIB. Le risque de voir l’Italie quitter la zone euro n’a jamais été aussi fort depuis quatre ans, selon une récente enquête. Italie : les banques souffriraient d’un « non » au référendum https://t.co/eCP2eiTU2Y pic.twitter.com/Gey7DaW84Q— Les Echos (@LesEchos) 29 novembre 2016