Alunissage réussi pour Chang'e 5, mais pas d'images en direct
A présent la sonde chinoise doit rapporter 2 kg de roches lunaires. Ce sera une première depuis 1976.
NBA - La star des Lakers est décédée le 26 janvier 2020 dans un accident d'hélicoptère avec sa fille Gigi et sept autres personnes
Clément Noël, jeune prodige français du slalom Alpin, a démontré en l'espace de quelques années, être l'un des concurrents les plus impressionnants de la Coupe du Monde de ski Alpin FIS. A 23 ans seulement, il est voué à encore plus de succès et devient le nouvel ambassadeur de Longines.
Alors que la junte qui dirigeait la transition au Mali a officiellement été dissoute mardi, l'armée malienne a annoncé avoir neutralisé une centaine de jihadistes dans le centre du pays, lors d'une opération conjointe avec la France. Cette annonce intervient à l'approche d'un sommet qui réunira au Tchad, en février, Paris et ses partenaires du Sahel. Les armées française et malienne ont éliminé une centaine de jihadistes lors d'une opération d'envergure menée conjointement en janvier dans le centre du Mali, a indiqué mardi 26 janvier l'armée malienne."Une centaine de terroristes neutralisés, une vingtaine capturés et plusieurs motos et matériels de guerre saisis" durant l'opération "Éclipse", menée du 2 au 20 janvier par l'armée malienne et la force française Barkhane, a indiqué l'armée malienne dans un communiqué. Paris avait affirmé la semaine dernière qu'une vingtaine de jihadistes avaient été tués mi-janvier par les militaires français et leurs partenaires locaux dans le nord du Burkina Faso, dans la zone dite des "trois frontières" (Burkina, Mali, Niger), lors d'une opération menée en coordination avec "Éclipse". Au Mali, il s'agissait de "bouter l'ennemi hors de ses zones de refuge" dans le secteur Douentza-Hombori-Boulkessi, une région de forêts clairsemées et de brousses surplombées d'un massif rocheux où sont implantés des éléments du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM, ou Jnim en arabe), une alliance jihadiste affiliée à Al-Qaïda. D'autres groupes, liés pour leur part à l'organisation État islamique, sont également présents dans la région.Paris combat les jihadistes au Sahel avec 5 100 hommes, déployés depuis 2013 aux côtés des armées du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Tchad, Burkina Faso, Niger). Ces armées revendiquent cependant rarement un bilan humain aussi important lors d'une seule opération face à des groupes qui ne compteraient dans leurs noyaux durs pas plus de quelques milliers d'hommes."Fourmilière""Avec Éclipse, (les soldats) sont vraiment au coeur de la fourmilière", a souligné mardi une source diplomatique occidentale dans la capitale malienne.Ces opérations anti-jihadistes n'échappent pas aux polémiques. Le chef d'état-major de l'armée malienne a ordonné mi-janvier une enquête sur les circonstances de la mort de trois jihadistes faits prisonniers pendant leur transfèrement vers un camp militaire.Et plusieurs ONG réclament une enquête indépendante sur une frappe aérienne française près du village de Bounti. Des villageois et une association peule affirment que cette frappe a tué une vingtaine d'habitants lors d'un mariage le 3 janvier. Les autorités françaises et maliennes martèlent pour leur part que les avions de chasse français ont visé et éliminé des dizaines de jihadistes et qu'il n'y avait ni mariage, ni femmes, ni enfants.La junte dissouteParis "espère vraisemblablement que la polémique se sera estompée à l'approche du sommet de N'Djamena (les 15 et 16 février), où le bilan de l'opération sera sans doute mis en avant", a déclaré mardi à l'AFP une source onusienne.Ce sommet, un an après celui de Pau, où les dirigeants français et sahéliens avaient décidé d'intensifier leur lutte dans la zone des "trois frontières", doit permettre de faire le point sur l'engagement français. Le président français Emmanuel Macron a d'ores et déjà prévenu qu'il comptait "ajuster les efforts" français dans la région. Pour alléger son fardeau, Paris mise beaucoup sur la nouvelle force Takuba, un groupement de forces spéciales européennes chargé d'accompagner l'armée malienne au combat.Les hommes qui dirigent la transition au Mali, mise sur pied après le coup d'État qui a renversé en août le président Ibrahim Boubacar Keïta, pourront par ailleurs se prévaloir lors de ce sommet de la dissolution formelle, annoncée mardi, du Comité national pour le Salut du peuple (CNSP), l'organe formé par les militaires putschistes.Le gouvernement de transition pourra également se targuer de travailler à la mise en œuvre des accords de paix de 2015, un facteur essentiel d'un retour à la stabilité au Mali. Après avoir intégré d'ex-rebelles au gouvernement, une délégation ministérielle s'est rendue lundi pour la première fois depuis des mois à Kidal, bastion des ex-rebelles indépendantistes touareg dans le nord du pays.Deux grandes communautés signent des "accords de paix"Des représentants des communautés peule et dogon du centre du Mali ont par ailleurs signé trois accords pour tenter de ramener la stabilité dans cette région particulièrement éprouvée par les violences intercommunautaires et jihadistes, a annoncé mardi une ONG suisse spécialisée dans les médiations.Les communautés peule, constituée majoritairement d'éleveurs, et dogon, pratiquant essentiellement l'agriculture, de 11 des 16 communes qui constituent le cercle de Koro ont signé ces "accords de paix" entre le 12 et le 24 janvier, après quatre mois de médiation, a indiqué dans un communiqué le Centre pour le dialogue humanitaire (HD).Avec AFP
Ce mardi, Joe Biden a signé quatre décrets consacrés à la lutte contre les inégalités raciales. Le premier met un terme à l’usage de prisons privées pour l’incarcération de détenus fédéraux, une mesure pour tenter de lutter contre les injustices pénales qui frappent essentiellement les minorités. Les trois autres renforcent le combat contre les discriminations dans le domaine du logement, contre le racisme envers les Américains d'origine asiatique – qui a explosé pendant la pandémie – et enfin, vise à renouer le dialogue entre l’administration et les tribus amérindiennes. Avec notre correspondante à Washington, Anne Corpet« Les 8 minutes et 46 secondes de martyr de Georges Floyd ont ouvert les yeux de millions d’Américains et de personnes à travers le monde », entame Joe Biden. « Cela a marqué un tournant dans la lutte contre les injustices raciales ».Et le président ajoute : « Maintenant, il est maintenant temps d’agir. Il est temps d’agir parce que c’est ce que notre foi et notre moralité nous commandent de faire. Je crois que cette nation et ce gouvernement ont besoin de changer toute leur approche du problème de l’inégalité raciale. Cela signifie que ce problème de l’inégalité raciale ne doit pas être celui d’un ministère. Cela doit concerner tout le gouvernement. »Les quatre décrets signés par le président ne suffiront pas à régler le problème du racisme dans la société américaine, mais ils fourniront des outils à ceux qui luttent contre les discriminations. « On ne peut pas éliminer le racisme en une nuit », a reconnu Joe Biden, « mais je pense que la nation est prête à changer. » Le président assure en tous cas que la lutte contre les inégalités raciales sera au cœur de l’action quotidienne de son gouvernement. ► À écouter et à lire aussi : Aux États-Unis le coronavirus exacerbe les inégalités raciales
La Colombie a atteint en ce début d'année des niveaux inédits de violence depuis la signature de l'accord de paix avec l'ex-guérilla des Farc en 2016, a alerté mardi la juridiction spéciale pour la paix (JEP).
En s'embrouillant juste avant la mi-temps, ce mardi soir dans le derby de Milan, Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimović ont rappelé que le football - et heureusement - n'est pas encore totalement aseptisé. Et que les fronts contre front font partie intégrante de ce sport. D'autant plus quand il change totalement la physionomie d'un match comme cela a été le cas dans ce quart de finale de Coupe d'Italie entre l'Inter et l'AC Milan qui s'est terminé par un but des deux hommes, un carton rouge pour Zlatan et une qualif' pour Lukaku. Et un bon moment pour les téléspectateurs.Impossible de savoir ce qu'il y a dans la tête de Romelu Lukaku au moment où il prend ses pas d'élan pour tirer son penalty. Mais au regard de la ...
Les dispositions antidémocratiques ou antisémites adoptées par le Troisième Reich ont été supprimées juste après la guerre mais les textes épurés de leurs mesures extrêmes ont pu perdurer bien que leurs origines et certaines mentions restent des plus sulfureuses. De notre correspondant à Berlin, La loi sur les changements de noms mentionne toujours aujourd’hui « le ministre de l’Intérieur du Reich ». Ce texte de 1938 portait la signature de Wilhelm Frick qui occupait cette fonction sous le Troisième Reich de 1933 à 1943. Il sera condamné à mort en 1946 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité lors du procès de Nuremberg contre de hauts dirigeants nazis. La loi avait été adoptée avant tout contre les juifs allemands obligeant à partir du 1er janvier 1939 les hommes et les femmes à ajouter respectivement les prénoms Israël et Sara à leur prénoms officiels. Le texte renforçait un peu plus, comme de nombreux autres avant lui, l’exclusion des juifs. Le conseil de contrôle allié, mis en place après la capitulation du régime nazi pour gérer l’Allemagne, a, en septembre 1945, supprimé la loi confiant les pleins pouvoirs à Hitler en 1933 ainsi que la législation du Troisième Reich. Les dispositions discriminatoires contre des personnes en raison de leur origine ou de leur religion étaient interdites. Plusieurs dizaines d’autres décisions similaires du conseil de contrôle allié contribuent à la dénazification du droit allemand mais toutes les traces ne disparaissent pas pour autant. Le texte de 1938 a été débarrassé de sa dimension antisémite et est devenu en 1954, sur décision administrative, une loi de la République fédérale d’Allemagne. Mais malgré de nombreux amendements depuis, les dernières traces témoignant de l’origine de ces dispositions n’ont jamais été complètement effacées. Fin 2019, le délégué du gouvernement allemand en charge de la lutte contre l’antisémitisme reçoit une lettre d’une femme qui a souhaité garder l’anonymat, d’après l’hebdomadaire Der Spiegel. L’expéditrice demande à Felix Klein de faire en sorte que les derniers reliquats de la législation nazie disparaissent définitivement. Le destinataire du courrier ne reste pas inactif. Trois mois plus tard, il publie une tribune dans la presse avec deux députés issus des deux partis composant la grande coalition, la CDU et le SPD. Dans le texte intitulé « Supprimez enfin les paragraphes nazis ! », les auteurs écrivent : « Une personne qui veut aujourd’hui modifier son nom ou son prénom est confrontée à un texte adopté à l’époque pour des raisons antisémites. Cela est insupportable, pas seulement pour les juifs ». Les auteurs de la tribune demandent une correction du texte pour que les dirigeants actuels de l’Allemagne ne figurent pas indirectement dans la continuité du « ministre de l’Intérieur du Reich » toujours mentionné dans le texte. Ils demandent également une suppression systématique des traces du Troisième Reich dans les lois actuelles.► À lire aussi : Auschwitz et le IIIe Reich: quel rapport des Allemands avec leur passé?Vingt-neuf textes seraient concernés. Hormis celui sur les changements de noms et de prénoms, – le plus emblématique – d’autres lois plus techniques sont concernées comme celle sur les naturopathes ou sur les casinos. Felix Klein souhaitait que le Parlement allemand puisse d’un coup procéder à toutes les corrections nécessaires, mais une telle procédure semble trop ambitieuse. Avec le soutien du ministère de l’Intérieur, une réforme de la loi sur les changements de noms devrait avoir lieu avant la fin de la législature actuelle en septembre. Le député social-démocrate Helge Lindh, en charge du dossier pour son parti, estime, interrogé par RFI, que la survie de ces dispositions constitue « une honte ». Il rappelle que la disparition du Troisième Reich avait certes mis fin à l’État de non droit qui régnait sous le nazisme mais que les structures et le personnel issus de cette période avaient perduré. Et les générations ultérieures n’ont pas toujours eu la sensibilité suffisante pour « dénazifier » un certain nombre de textes.Ce mercredi 27 janvier est célébrée la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste, jour anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau, le 27 janvier 1945.
Dans un entretien accordé à S, le magazine de Sophie Davant, Sylvie Vartan s'est confiée sur son petit-fils Cameron, le fils que David Hallyday a eu avec la styliste Alexandra Pastor.
Au Yémen, il y a 10 ans commençaient les premières manifestations contre le pouvoir en place, dans le sillage des printemps arabes en Tunisie et en Égypte. Un mouvement pacifique de la jeunesse qui a abouti certes au départ du président de l’époque, Ali Abdallah Saleh, mais qui faute de transition réussie, s’est transformée en une guerre civile. « Le peuple veut la chute du régime », le slogan désormais familier des printemps arabes résonne à son tour à Sanaa, la capitale du Yémen. Des milliers de jeunes manifestent ce 27 janvier 2011 pour réclamer le départ du président Ali Abdallah Saleh en place depuis des décennies et accusé de dérives autoritaires. Les revandications de la population sont aussi économiques et sociales, le Yémen est parmi les pays les plus pauvres au monde.La jeunesse qui manifeste est ensuite rejointe par des partis d’oppositions et des tribus. Le 18 mars 2011, des partisans du président tirent sur un rassemblement pacifique à Sanaa, faisant 52 morts.Le président Saleh s’accroche au pouvoir, il n’en partira qu’en novembre, poussé par la rue et par ses voisins du Golfe qui font pression.Abd Rabbo Mansour Hadi prend alors les rênes du pouvoir mais il est rapidement contesté. En septembre 2014, des rebelles, les Houthis, s’emparent de la capitale Sanaa. Ainsi débute une guerre sanglante entre les Houthis et le gouvernement aidé à partir 2015 par une coalition menée par l’Arabie saoudite. Aujourd’hui le conflit dure toujours et le Yémen traverse, selon l’ONU, la pire crise humanitaire au monde.►À écouter aussi : Géopolitique, le débat - Les printemps arabes, dix ans après: l'heure est-elle au bilan définitif ?
Plus de 100 millions de personnes ont officiellement été infectées par le nouveau coronavirus dans le monde, où restrictions et confinements destinés à enrayer la pandémie sont de plus en plus contestés, parfois avec violence. Le monde dénombre au total 100 010 798 cas de Covid-19, responsables de 2 151 242 décès depuis son apparition en Chine en décembre 2019, selon un comptage réalisé mardi soir par l’AFP.Seul espoir à l'horizon, la vaccination progresse de façon inégale d'un pays à l'autre : si le président Joe Biden prédit grâce à elle une immunité collective des Américains d'ici l'été, dans bien d'autres nations elle marque le pas, faute de doses, ou a à peine commencé, faute de moyens. La pandémie, qui limite les libertés et éprouve depuis un an la patience des populations, va amputer le Produit intérieur brut mondial de 22 000 milliards de dollars entre 2020 et 2025, a estimé mardi le Fonds monétaire international (FMI).Nuit calme aux Pays-BasAux Pays-Bas, après trois nuits de violentes émeutes dans plusieurs grandes villes et localités pour protester contre l'instauration d'un couvre-feu, une forte présence policière semblait mardi soir avoir empêché de nouveaux troubles. Au moins 184 personnes ont été arrêtées et dix policiers blessés, dans ces émeutes, les "pires en quarante ans" selon le Premier ministre Mark Rutte.En Grèce, la police a annoncé que tous les rassemblements seraient interdits pendant une semaine pour des raisons de "santé publique", alors qu'une manifestation étudiante est prévue jeudi et une autre de l'extrême gauche vendredi.En Israël, après de premiers heurts lundi, des violences ont à nouveau éclaté mardi entre policiers et juifs ultra-orthodoxes opposés aux mesures sanitaires, à Jérusalem. À travers le monde, les restrictions se maintiennent ou se durcissent alors que la vaccination a débuté il y a un mois : plus de 63,5 millions de doses ont été administrées dans au moins 68 pays ou territoires, selon un comptage de l'AFP.Mais le fossé vaccinal entre riches et pauvres se creuse, s'est inquiétée l'Organisation mondiale pour la santé (OMS). La chancelière allemande Angela Merkel a appelé elle aussi à une répartition "équitable" des vaccins dans le monde."Ne voyagez pas !"Mardi doit entrer en vigueur le test négatif au Covid-19 obligatoire pour tout voyageur arrivant aux États-Unis par avion.En Nouvelle-Zélande, la Première ministre Jacinda Ardern s'attend à garder closes ses frontières nationales "la majeure partie de cette année".L'Allemagne, pour sa part, envisage des "mesures drastiques", parmi lesquelles "des contrôles aux frontières plus stricts, (...) mais aussi la réduction du trafic aérien à destination de l'Allemagne à presque néant".La Belgique a décidé qu'à compter de mercredi et jusqu'au 1er mars, les voyages non essentiels vers et hors de son territoire sont interdits, allant plus loin que les recommandations de l'UE, qui demande d'éviter les voyages d'agrément.L'Irlande quant à elle va prolonger son troisième confinement jusqu'au 5 mars et adopter pour la première fois des mesures de quarantaine obligatoire, a annoncé mardi le Premier ministre Micheal Martin. "Restez chez vous, ne voyagez pas", a-t-il souligné."Certificats" de vaccinationEn Espagne, le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a nommé mardi une nouvelle ministre de la Santé, Carolina Darias, en pleine reprise de l'épidémie, au grand dam de l'opposition.Alors que le ministre colombien de la Défense, Carlos Holmes Trujillo, est décédé mardi à l'âge de 69 ans de complications dues au Covid-19, le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador, lui aussi contaminé, "se remet bien", selon sa ministre de l'Intérieur, Olga Sanchez. L'Islande est devenue mardi l'un des premiers pays à délivrer des "certificats" de vaccination à ses ressortissants, avec pour "objectif de faciliter la circulation des personnes entre les pays", alors que la question divise les membres de l'UE, et que leur valeur n'est pas reconnue internationalement.Selon une nouvelle étude présentée mardi, des lésions sur la langue, des taches sur les mains et les pieds, pourraient être d'autres symptômes du Covid-19.Avec AFP
La Haute assemblée examine ce mardi le projet de loi visant à réformer la justice pénale des mineurs. Une réforme « attendue » mais jugée précipitée tant sur le fond que sur la forme.
Les armées française et malienne ont éliminé une centaine de jihadistes lors d'une opération d'envergure menée conjointement en janvier dans le centre du Mali, a indiqué mardi l'armée malienne, à l'approche d'un sommet qui réunira au Tchad en février Paris et ses partenaires du Sahel.
L'idée de voir suffisamment de sénateurs républicains rejoindre les démocrates lors du vote final sur la destitution de Donald Trump s'amenuise.
La Fédération internationale de football (FIFA) a donné son feu vert aux candidatures de Jacques Anouma, de Patrice Motsepe, d’Augustin Senghor et d’Ahmed Yahya, pour l’élection du président de la Confédération africaine de football (CAF) prévue le 12 mars 2021 à Rabat. « Je suis heureux d'annoncer la validation de ma candidature à la Présidence de la Confédération africaine de football et Vice-Présidence de la Fédération internationale de football par la Commission de Contrôle de la FIFA. » Le Mauritanien Ahmed Yahya a été un des premiers à se réjouir publiquement du fait que son dossier pour l’élection du patron de la CAF, prévue le 12 mars 2021 à Rabat, a été homologué par l’instance faîtière du foot mondial.Le chef de la Fédération de football de la république islamique de Mauritanie (FFRIM) était, avec le Sud-Africain Patrice Motsepe, l’un des deux candidats, parmi les cinq initialement déclarés, à avoir vu sa candidature partiellement validée par la Commission de gouvernance de la CAF, celles d'Augustin Senghor et de Jacques Anouma ayant été acceptées. Yahya et Motsepe avaient d’ailleurs rendez-vous le 28 janvier avec la Commission de gouvernance de la CAF pour clarifier certains points dans leurs parcours respectifs.La Commission de Contrôle de la FIFA, elle, a donc donné son aval à la participation de Jacques Anouma, de Patrice Motsepe, d’Augustin Senghor et d’Ahmed Yahya au vote pour remplacer le Malgache Ahmad. Un Ahmad suspendu cinq ans de toute activité liée au ballon rond et qui espère toujours pouvoir faire infléchir son sort devant le Tribunal arbitral du sport.Par ailleurs, la Fédération internationale s’est également prononcée sur les dossiers des candidats aux postes de représentants africains au Conseil de la FIFA. Certains, comme le Nigérian Amaju Pinnick ou le Gambien Lamin Kaba Bajo, ont reçu un satisfecit. D’autres prétendants n’ont pas encore communiqué sur leur sort.Rappelons que c’est à la suite d’une décision du Comité d’urgence de la CAF – organe qui rassemble le président, ses trois vice-présidents et deux autres membres du Comité exécutif – que la FIFA a apporté son sceau à ce scrutin du 12 mars dont le dénouement s’annonce imprévisible.
par Face à ce Manchester City, West Bromwich n’a pas pu faire grand-chose. L’avant-dernier de Premier League s’est lourdement incliné (5-0) ce mardi soir face à des Cityzens en feu qui décrochent leur septième succès en rang en championnat.
Brinks France vient de lancer une nouvelle solution permettant de payer un achat sur Internet en espèces chez un buraliste.
Le président américain a signé mardi plusieurs décrets pour lutter contre le racisme aux États-Unis. L'un d'entre eux vise notamment à mettre un terme aux prisons fédérales privées. Mais pour les défenseurs des droits de l'Homme, il faut aller plus loin. Joe Biden a estimé venu "le temps d'agir" contre le "racisme systémique" qui corrompt selon lui "l'âme" de l'Amérique, et a signé mardi 26 janvier de premiers décrets à la portée toutefois limitée.La mort de l'Afro-Américain George Floyd, asphyxié en mai par un policier blanc, "a marqué un tournant dans l'attitude du pays envers la justice raciale", a déclaré le président démocrate lors d'une allocution à la Maison Blanche."Il est temps d'agir parce que la foi et la morale l'imposent", parce que le racisme est "corrosif, destructeur et coûteux" pour les États-Unis, a-t-il ajouté avant de parapher, entre autres, un décret pour mettre un terme aux prisons fédérales privées."Un premier pas"Pendant sa campagne, le démocrate a conquis les électeurs Afro-Américains en promettant notamment de réformer le système carcéral des États-Unis, où les minorités sont surreprésentées. Le nouveau décret ordonne au ministre de la Justice de ne pas renouveler les contrats des opérateurs privés quand ils arriveront à échéance. "C'est un premier pas pour empêcher les grandes entreprises de tirer profit du système carcéral", a poursuivi Joe Biden, en critiquant des prisons privées "moins humaines et moins sûres". Cette réforme avait été décidée à la fin de la présidence de Barack Obama mais son successeur républicain, Donald Trump, avait fait marche arrière dès son arrivée à la Maison Blanche. Elle a une portée limitée : seuls 116 000 des plus de deux millions de prisonniers étaient détenus dans des établissements privés en 2019, soit 7 % de la population carcérale dans les prisons des États et 16 % de celle des prisons fédérales, selon le ministère de la Justice. Et le nouveau décret présidentiel ne porte pas sur les centres de rétention pour migrants qui sont souvent gérés par des opérateurs privés. Joe Biden prié d'en faire plusLes défenseurs des droits de l'Homme l'ont donc accueilli avec tiédeur. "Le décret signé est un premier pas important (...) mais le président Biden a pour obligation d'en faire plus", a ainsi déclaré David Fathi, de la puissante organisation ACLU en lui demandant de limiter l'usage de la force par la police et la mise à l'isolement des détenus, ainsi que d'abolir la peine de mort au niveau fédéral. "Cette insistance sur le privé est plus du spectacle avec des bons sentiments qu'une politique solide", a ajouté le professeur de Droit pénal John Pfaff sur Twitter. Le président a signé trois autres décrets, assez flous, pour renforcer la lutte contre les discriminations dans le domaine du logement, contre le racisme envers les Américains d'origine asiatique et pour renforcer le dialogue entre son administration et les nations amérindiennes. Joe Biden a pris soin de souligner que la lutte contre le racisme "prendrait du temps" et que d'autres mesures suivraient dans les jours et les semaines à venir.Avec AFP
NEO est fière d'annoncer le retour de Fidelity Investments Canada ULC (« Fidelity ») à la NEO Bourse, avec le lancement de deux allocations de portefeuille en ETF. Les deux nouveaux fonds ont commencé à se négocier aujourd'hui sous les symboles NEO:FBAL et NEO:FGRO.
En France, Emmanuel Macron temporise sur un reconfinement. Le président réunit à nouveau un Conseil de défense sanitaire ce mercredi matin pour faire le point sur l’épidémie de Covid-19. Malgré les appels de certains médecins et scientifiques, un troisième confinement ne devrait pas être décidé tout de suite. Dans la classe politique, on se montre aussi prudent sur l’opportunité d’un reconfinement qui aurait des dégâts économiques, sociaux et psychologiques lourds. Un troisième confinement n’est pas inéluctable, veut croire le chef de file de l’opposition de droite Damien Abad. « Les chiffres ne sont pas les chiffres de novembre ni les chiffres de mars donc d'un point de vue objectif et chiffré, pour le moment, rien ne justifie que l'on aille dans cette direction, commente-t-il. Ce qui me gêne c’est pas l’hésitation du président de la République, ce sont les discours totalement contradictoires que l'on entend des mêmes personnes parfois en 24h d’intervalle. Il faut quand même que l'on ait une ligne de conduite et qu'on s'y tienne. »Le gouvernement ne joue pas avec les nerfs des Français, réplique Christophe Castaner, le président du groupe En marche à l'Assemblée : « Là, la volonté du gouvernement, c'est d'attendre d’avoir une vision claire sur l’effet du couvre-feu généralisé à 18 heures sur l'ensemble du territoire national et c’est en fonction de cette réalité-là que nous devons prendre des décisions. »Mais, pour le centriste Jean-Christophe Lagarde, l’exécutif n’est pas transparent avec les Français : « Le troisième confinement est inévitable, je ne comprends pas pourquoi le gouvernement ne le dit pas. La question c'est quand et comment ? On voit en Grande-Bretagne, on voit partout que l'augmentation de la propagation du virus a obligé ces pays qui ne voulaient pas être confinés à le faire. »C’est en fin de semaine que le gouvernement aura les résultats de ses enquêtes sur l’efficacité du couvre-feu et la diffusion du variant anglais. ► À lire aussi : À la Une: peut-on encore échapper au reconfinement ?Vaccins : pas de décalage des dosesComment accélérer la vaccination en France, alors que l’épidémie est très active, et le nombre de doses limité ? Dans un avis rendu ce week-end, la Haute Autorité de santé (HAS), instance consultative, plaidait pour que la 2e injection du vaccin de Pfizer/BioNTech soit décalée à 6 semaines au lieu des 3 ou 4 prévues. Fait peu courant, le ministère de la Santé ne suit pas cet avis et se range finalement à celui de nombreux autres scientifiques. Le schéma vaccinal ne change donc pas.
Joe Biden et Vladimir Poutine se sont parlé au téléphone. Le nouveau président américain s'est entretenu mardi avec son homologue russe Vladimir Poutine pour la première fois depuis son entrée à la Maison Blanche, il y a une semaine. Au menu, plusieurs dossiers au cœur des tensions entre les deux pays. Joe Biden n’a pas évité les sujets qui fâchent. Du traitement des manifestants par les forces de sécurité russes, à l’empoisonnement de l’opposant Alexeï Navalny qu’il juge préoccupant, en passant par le dossier ukrainien : autant de sujets que son prédécesseur préférait soigneusement éviter. Selon le compte rendu de sa porte-parole, le nouveau président américain a aussi évoqué les accusations « d’ingérences russes dans l'élection de 2020 » aux États-Unis, la récente cyberattaque géante contre des ministères américains imputée à Moscou, ou encore les informations selon lesquelles la Russie aurait payé des « primes » à des talibans pour tuer des soldats américains.► À lire aussi : Manifestations pro-Navalny en Russie: Moscou accuse Washington d'ingérenceSelon l’agence AP, le Kremlin avait demandé, dès la semaine dernière un entretien avec le nouveau président américain, mais celui-ci avait souhaité d’abord s’entretenir avec ses alliés européens, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne et avec le secrétaire général de l’Otan. Côté russe, le ton se veut plus conciliant. Dans son compte rendu, le Kremlin souligne que Vladimir Poutine a plaidé pour « une normalisation des relations entre la Russie et les États-Unis », qui selon lui « répondrait aux intérêts des deux pays mais aussi de ceux de toute la communauté internationale ». Dans la foulée, le président russe a soumis un projet de loi qui prévoit de prolonger de cinq ans l'accord russo-américain New Start sur la limitation des armements nucléaires. ► À lire aussi : Joe Biden, «russophobe» ou nouvel ami du Kremlin?