Clôture précédente | 215,35 |
Ouverture | 206,35 |
Offre | 0,00 x 0 |
Vente | 0,00 x 0 |
Var. jour | 206,30 - 212,30 |
Sur 52 semaines | 134,38 - 218,50 |
Volume | |
Volume moyen | 746 547 |
Cap. boursière | 116,589B |
Bêta (mensuel sur 5 ans) | 1,01 |
Rapport P/E (sur 12 mois) | 29,52 |
BPA (sur 12 mois) | 7,06 |
Date de bénéfices | 15 févr. 2024 |
Dividende et rendement à terme | 3,50 (1,63 %) |
Date ex-dividende | 28 mai 2024 |
Objectif sur 1 an | 208,10 |
La Bourse de Paris a terminé la séance de vendredi quasi stable, les investisseurs s'étant focalisés sur les tensions entre l'Iran et Israël qui n'ont pas abouti, à ce stade, à un embrasement du conflit au Moyen-Orient ni à une flambée des prix du pétrole.Mais les autorités iraniennes ont minimisé l'impact de l'événement et n'ont pas accusé directement Israël, qui ne les a pas revendiquées.
En Inde, les entreprises françaises telles que Airbus, Sanofi ou TotalEnergies parient sur la croissance de l’économie et une main-d’œuvre bon marché. Mais le gouvernement nationaliste hindou se méfie.
"Est-ce que ça coûte plus d'énergie que ça n'en rapporte?"Interrogé sur les dépenses en énergie que pourrait générer l'IA au sens large, alors que le groupe a pour principale raison d'être de fournir des solutions d'optimisation de la consommation, M. Rambach se montre très confiant: "pour l'instant, on est vraiment sur un rapport de un à 100 ou un à 1.000, quand on voit ce qu'on dépense par rapport à ce qu'on sauve".