CAC 40
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LVMH Moët Hennessy - Louis Vuitton, Société Européenne (MC.PA)
| Clôture précédente | 796,80 |
| Ouverture | 790,40 |
| Offre | 0,00 x 0 |
| Vente | 0,00 x 0 |
| Var. jour | 785,00 - 795,20 |
| Sur 52 semaines | 644,00 - 904,60 |
| Volume | |
| Volume moyen | 339 320 |
| Cap. boursière | 397,237B |
| Bêta (mensuel sur 5 ans) | 0,99 |
| Rapport P/E (sur 12 mois) | 26,19 |
| BPA (sur 12 mois) | 30,36 |
| Date de bénéfices | 25 janv. 2024 |
| Dividende et rendement à terme | 13,00 (1,63 %) |
| Date ex-dividende | 23 avr. 2024 |
| Objectif sur 1 an | 886,40 |
AFPArmani n'exclut plus une vente de son empire dans le cadre de sa succession
Le maître de la mode italienne Giorgio Armani, 89 ans, qui a toujours défendu farouchement l'indépendance de son groupe de luxe, n'exclut plus une vente ou une entrée en Bourse une fois qu'il ne sera plus aux commandes."Les grands groupes ont de plus en plus de marques historiques dans leur ligne de mire", déplore toutefois le vétéran de la mode italienne.
AFPLa famille Arnault quasi au complet au conseil d'administration de LVMH
La famille Arnault présente au conseil d'administration du groupe LVMH s'est élargie jeudi avec l'entrée des deux fils de Bernard Arnault, Alexandre, 31 ans, et Frédéric, 29 ans qui rejoignent leurs deux aînés, Delphine et Antoine, à la suite d'un vote de l'assemblée générale.Delphine, 49 ans, et Antoine, 46 ans, nés d'un premier mariage, sont également membres du conseil d'administration de LVMH. Le mandat d'Antoine Arnault a été renouvelé avec 92,57% des voix.
AFPLa Bourse de Paris commence la saison de publication de résultats en hausse de 0,52%
La Bourse de Paris a terminé jeudi dans le vert, progressant de 0,52%, suivant la tendance de Wall Street où les données économiques montant la robustesse de l'économie tendent à soutenir les marchés boursiers. Les dernières données économiques concernant les Etats-Unis ont continué de montrer que la croissance reste solide et que l'inflation ne ralentit pas autant qu'espéré, ce qui pousse les investisseurs à se demander si "les signes que l'économie américaine est trop forte" pourraient casser
