Clôture précédente | 135,67 |
Ouverture | 136,11 |
Offre | 136,77 x 1000 |
Vente | 137,07 x 800 |
Var. jour | 135,63 - 137,60 |
Sur 52 semaines | 101,28 - 144,34 |
Volume | |
Volume moyen | 14 698 901 |
Cap. boursière | 400,178B |
Bêta (mensuel sur 5 ans) | 1,08 |
Rapport P/E (sur 12 mois) | 10,10 |
BPA (sur 12 mois) | S.O. |
Date de bénéfices | S.O. |
Dividende et rendement à terme | 4,00 (2,92 %) |
Date ex-dividende | 05 juil. 2023 |
Objectif sur 1 an | S.O. |
Ce lundi 16 mai, des documents ont été demandés à Elon Musk dans le cadre d'une plainte contre la banque JPMorgan et ses relations avec Jeffrey Epstein. Le patron de Tesla n'est pas incriminé dans le dossier.
La Bourse de New York a ouvert dans le rouge jeudi, entre une hausse modérée des prix de gros, des résultats décevants pour Disney et de nouvelles inquiétudes sur les banques régionales américaines.A la cote, les banques régionales inquiétaient de nouveau les investisseurs, surtout PacWest qui chutait de plus de 28%.
La banque régionale américaine est désormais considérée comme le nouveau maillon faible du système bancaire américain. Après SVB, Pacwest inquiète à son tour.
La Bourse de Paris a terminé en très légère hausse de 0,11% lundi, les quelques investisseurs présents n'ayant pas pris de position marquée en l'absence d'actualité économique et avant leur prochain rendez-vous, l'inflation américaine mercredi. Côté banques centrales européenne et américaine, la fin des hausses de taux se confirme, "mais la question est, et ensuite?"
La Bourse de New York évoluait en léger retrait, les investisseurs attendant cette semaine de nouvelles données sur l'inflation américaine tandis que le bras de fer sur le plafond de la dette se poursuit.Enfin, le bras de fer sur le plafond de la dette entre l'administration démocrate et les républicains au Congrès, va gagner en intensité cette semaine.
500 millions de dollars de cuivre évaporés dans la nature, des vulgaires cailloux découverts à la place de cargaisons de nickel… Les scandales s'enchaînent dans le commerce des matières premières. Les grands perdants? La quarantaine de banques qui financent l’essentiel des 5.500 milliards de matières premières transportées autour du globe chaque année.
La Bourse de New York a clôturé nettement dans le rouge jeudi, plombée par les banques régionales, après une autre hausse des taux opérée par la banque centrale américaine, la Fed, mercredi, la 10e d'affilée.Une surprise à la baisse des créations d'emplois pourrait apaiser les échanges en détendant les taux obligataires et en impliquant que la Fed va au moins faire une pause dans les hausses de taux.
La Bourse de New York a ouvert en baisse jeudi, digérant un nouveau relèvement des taux d'intérêt de la Fed alors que les banques régionales américaines subissaient de nouveau une très forte pression.Outre cette pression renouvelée sur les banques, l'attitude de la Réserve fédérale (Fed) qui se garde l'option de faire une pause sur les taux mais aussi de les relever si l'inflation résiste et en tout cas certainement pas de les abaisser cette année, n'a pas satisfait les marchés.
La Banque centrale américaine a relevé mercredi son principal taux directeur pour la dixième fois d'affilée depuis mars 2022, d'un quart de point de pourcentage, décidée à juguler l'inflation malgré des signes d’essoufflement de l'économie et en dépit de la récente crise bancaire.Le soutien à une hausse d'un quart de point de pourcentage "était très fort au sein du comité", a-t-il souligné, "les gens ont évoqué une pause, mais pas tellement pour cette réunion".
La Bourse de Paris a légèrement rebondi mercredi, en attendant les conclusions de la réunion de la Réserve fédérale américaine, qui pourrait annoncer une dernière hausse de ses taux selon les anticipations des investisseurs.Les investisseurs s'attendent à une nouvelle hausse modérée du taux directeur principal de la banque centrale américaine (Fed), d'un quart de point de pourcentage, comme en mars, tout en espérant entendre des messages plus accommodants pour les prochains mois.
Le chemin semble de plus en plus étroit pour la Fed: entre une économie morose et un secteur bancaire qui tangue, la banque centrale américaine, qui devrait annoncer une nouvelle hausse des taux mercredi, maintient le cap de réduire à tout prix l'inflation.Elles peuvent faire le même effet que des hausses de taux, en ralentissant la demande et donc la hausse des prix, avait aussi souligné Jerome Powell lors de sa dernière conférence de presse.
Les autorités et acteurs du secteur bancaire espéraient que le rachat de First Republic par JPMorgan sonnerait, au moins temporairement, la fin des remous dans le monde de la finance mais les banques régionales étaient de nouveau sous forte pression mardi à Wall Street. Pour Alexander Yokum du cabinet CFRA, les trois récentes faillites ont aussi un coût direct pour le secteur bancaire, qui finance par ses cotisations le fonds d'assurance-dépôts géré par l'agence FDIC. Cette dernière estime que
La Bourse de New York a viré au rouge mardi à la veille d'une décision monétaire de la Fed alors que les banques régionales sont à nouveau dans le viseur des marchés, qui semblent chercher le prochain maillon faible.Les banques régionales ont été la cible des paris à la baisse.
Alors que la banque centrale américaine (Fed) mène une politique monétaire visant à juguler l'inflation tout en évitant une récession, les marchés misent sur la fin de la hausse des taux d'intérêt d'ici la fin de l'année afin de soutenir l'économie.
La Bourse de Paris est en légère baisse de 0,13% dans les premiers échanges mardi, attendant les réunions des banques centrales, à commencer par celle des Etats-Unis. Le titre a même brièvement chuté de près de 6% dans les premiers échanges.
La Bourse de New York a terminé en très légère baisse lundi après la solution apportée à un nouvel épisode de la crise bancaire et à la veille d'une réunion de la banque centrale américaine (Fed).La Fed et l'emploi Les investisseurs digéraient aussi des indicateurs mitigés qui faisaient monter les rendements obligataires à la veille du début d'une réunion de deux jours de la Fed.
Les autorités américaines ont pris lundi le contrôle de la banque régionale First Republic et en ont revendu la grande majorité à JPMorgan Chase, actant ainsi la deuxième plus grosse faillite de l'histoire des Etats-Unis et espérant mettre un terme à la crise bancaire qui a émergé en mars.Il s'agit de la deuxième plus grosse faillite bancaire de l'histoire des Etats-Unis après celle de Washington Mutual en 2008.
En chute libre à Wall Street, la First Republic Bank a été saisie par les autorités américaines qui l’ont revendue à JPMorgan Chase, la plus grande banque des États-Unis. En termes d’actifs, il s’agit de la deuxième plus grosse faillite bancaire de l’histoire du pays, derrière celle de Washington Mutual en septembre 2008.
La banque régionale américaine a de nouveau plongé vendredi à Wall Street, les rumeurs sur une stratégie ou un plan de sauvetage se multipliant sans toutefois se concrétiser pour l'instant.
La banque régionale américaine First Republic a de nouveau plongé vendredi à Wall Street après un court répit, les rumeurs sur une stratégie ou un plan de sauvetage se multipliant sans toutefois se concrétiser pour l'instant.Dernière en date: selon le Wall Street Journal, l'agence américaine en charge de garantir les dépôts bancaires, la FDIC, pourrait prendre ce week-end le contrôle de la banque puis revendre ses actifs à un autre établissement.
Le CAC 40 a continué à briller cette semaine, en inscrivant jour après jour un nouveau record historique. Et la sélection de Momentum, la lettre d’investissement premium quotidienne de Capital, n’a pas été en reste…
Alors qu'une crise de confiance s'installe dans le secteur bancaire aux États-Unis suite à la faillite de la banque SVB, une coalition de banques demande aux régulateurs de mieux protéger les dépôts de leurs clients.
Un groupe de 11 banques a accepté d'injecter 30 milliards de dollars de dépôts dans l'établissement en difficultés, First Republic, ont-elles indiqué dans un communiqué.
La banque d'affaires franco-américaine renforce sa présence dans le Golfe en faisant de Riyad son centre principal et en signant le recrutement de deux pointures.
Un document de plus de 100 pages a été révélé, dévoilant les grands acteurs de la finance potentiellement touchés par la faillite de la plateforme, dont des géants de Wall Street et des banques françaises.