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Les petits secrets de Françoise Bettencourt-Meyers, la future madame L’Oréal

La mise sous tutelle de sa mère, Liliane, l'amène à jouer les premiers rôles. Zoom sur la future et très discrète héritière du leader mondial des cosmétiques.

Pas de photo, pas d'interview. «Nous avons tout refusé, y compris Elkabbach», confie son éditeur, Victor Loupan. Certes, Françoise Bettencourt-Meyers a toujours préféré la compagnie de son piano Steinway à celle de Marc-Olivier Fogiel, le confident favori de Liliane. Mais pourra-t-elle encore longtemps cultiver sa discrétion de sœur franciscaine ? Désormais chargée d'exercer, avec ses enfants, la tutelle sur les biens de sa mère, elle va devoir s'exprimer plus ouvertement sur la stratégie de L'Oréal. Se contentera-t-elle d'un rôle d'actionnaire dormant ? Défendra-t-elle le statu quo avec Nestlé, toujours détenteur de 29,7% du capital et où siège son mari Jean-Pierre Meyers ? Autant de questions décisives pour l'avenir du géant français des cosmétiques.

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Son enfance hyper protégée «Avec ma mère, j'étais comme une moule accrochée au rocher», a coutume de raconter Françoise au sujet de son enfance. Dès la maternelle, elle est placée à l'école Marymount, une institution franco-américaine de Neuilly, où les petites filles portent la blouse blanche sous le gilet marine. Les sorties en ville ne se font que sous l'escorte d'un garde du corps. Et personne ne la réprimandera quand elle arrêtera ses études après une année de maths à la fac. Sa mère lui offrira même un duplex dans sa rue, peu avant le mariage. Le même qu'elle occupe encore aujourd'hui. «Liliane avait été traumatisée par l'enlèvement du petit Eric Peugeot en 1960», raconte une amie de la famille. A juste titre, puisque le ravisseur du baron Empain confiera plus tard avoir hésité avec les Bettencourt.

Son train de vie tout juste bourgeois «Oubliez son nom et vous verrez une femme on ne peut plus normale», assure son ami Olivier Pelat, le fils de feu l'homme d'affaires Roger-Patrice, autrefois proche de Mitterrand. Il est vrai que… Lire la suite sur Capital.fr

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