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“La zone euro est gravement menacée, quand reviendra “l’argent magique” de la BCE ?”

Sept années après son lancement, le quantitative easing (rachats massifs d’obligations d’Etat, en particulier, NDLR) touche à sa fin. Sept années d’une politique monétaire au titre et au contenu obscurs, mais dont l’impact a été considérable pour la cohésion européenne et pour la pensée économique. La mesure phare de cette politique concerne le rachat des obligations souveraines, un mécanisme simple d’apparence mais qui a permis à la BCE de financer les États, ce que pourtant les textes lui interdisent. A la lettre en effet, le mécanisme des rachats d’obligations ne contrevient pas aux statuts de la BCE puisqu’il repose sur un schéma indirect d’acquisition d’obligations librement revendues par ceux qui les avaient précédemment achetées aux États émetteurs.

C’est à partir de cette analyse formelle qu’un accord a été trouvé à l’origine par les Gouverneurs de la BCE pour financer les rachats d’obligations par la création monétaire, et résoudre le problème alors posé qui était celui de la désinflation menaçante. Et c’est en vain que les faucons des pays du Nord et notamment en Allemagne ont tenté de bloquer cette politique juridiquement inattaquable. Conjuguées avec une baisse drastique des taux d’intérêt, les mesures prises ont bénéficié à tous les États de la zone euro, et la convergence des conditions d’emprunt a notamment facilité la discussion d’accords plus récents concernant la mutualisation de nouveaux emprunts de l’Union Européenne.

Le plus étonnant est que cette politique (...)

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