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YouTube aurait conseillé à des modérateurs de 'faire confiance à Dieu' ou de prendre des 'drogues illégales'

YouTube aurait conseillé à des modérateurs de 'faire confiance à Dieu' ou de prendre des 'drogues illégales'

Cette ancienne modératrice, qui n'a pas été nommée dans le document, a travaillé comme contractuelle de YouTube via une agence de recrutement appelée Collabera de janvier 2018 à août 2019. Elle cherche à contraindre YouTube à mettre en œuvre des directives de sécurité plus strictes ainsi qu'à créer et à alimenter un fonds destiné à couvrir les frais médicaux nécessaires pour établir un diagnostic et les soigner, elle-même et les autres modérateurs qui pourraient avoir développé des troubles mentaux. YouTube et Collabera n'ont pas répondu aux demandes de commentaires de Business Insider US.

Des milliers de modérateurs de YouTube passent plusieurs heures chaque jour à visionner des centaines de vidéos contenant des contenus choquants tels que des viols, des tortures, des meurtres, des suicides, de la bestialité. Selon le procès verbal, cela représente entre 100 et 300 vidéos par jour avec un taux d'erreur de 5% ou moins.

YouTube n'en fait pas assez pour la santé mentale de ses employés

YouTube a depuis longtemps reconnu les risques pour la santé mentale auxquels il expose les modérateurs — et a même contribué à l'élaboration de meilleures pratiques pour les réduire.

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Malgré cela, l'ex-modératrice a déclaré que YouTube : minimisait ces risques pendant la formation et sur le lieu de travail ; exigeait des modérateurs qu'ils travaillent plus longtemps en raison de quotas exigeants, d'un taux de rotation élevé et d'une entreprise "en sous-effectif chronique" ; et essayait de faire taire les modérateurs qui soulevaient des préoccupations par le biais d'accords de non-divulgation.

Dans le procès verbal, elle déclare que l'entreprise explique aux candidats à l'embauche qu'ils "pourraient être obligés de revoir le contenu graphique", mais qu'aucun exemple ne leur est fourni. Elle ajoute, qu'on leur dit qu'ils devront revoir ces contenus quotidiennement, ou que le fait de le faire "peut avoir des effets négatifs sur la santé mentale".

Elle affirme que YouTube a refusé à plusieurs reprises

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