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Wwoofing : entre vacances et travail à la ferme, une immersion dépaysante en monde agricole

Illustration Capital

Ils étaient plus de 17 000 l’an dernier. Avec la crise sanitaire et le besoin croissant d’un «retour aux sources», les «wwoofeurs» («wwoof» pour «world wide opportunities on organic farms») sont de plus en plus nombreux en France. A titre de comparaison, on n’en recensait «que» 14 813 avant le Covid, en 2019, d’après l’association Wwoof France. Soit une hausse de près de 15% en l’espace de 4 ans. Si vous ne connaissez pas encore le concept, c’est simple : les wwoofeurs proposent leurs services à des agriculteurs et, en contrepartie, sont logés et nourris sans frais. Même si le principe de base est de découvrir le quotidien des agriculteurs sans chercher à tout prix un gîte gratuit, il est bon de rappeler que les bénévoles n’ont donc pas à dépenser le moindre centime pour leur séjour, sauf pour leurs activités en dehors de la ferme.

Aujourd’hui, en France, un peu plus de 2 500 fermes bio proposent d’accueillir des volontaires en échange de quelques heures de travail par jour. Si le mouvement est international - il est possible de voyager dans plus de 130 pays pour faire du «wwoofing» -, les bénévoles français privilégient tout de même les expériences dans leur propre pays, contexte de réchauffement climatique oblige. Et certains n’hésitent pas à consacrer l’intégralité de leurs vacances à ce type d’expérience.

C’est le cas d’Aurélie, qui occupe un poste de direction au sein d’une association. Cette quarantenaire s’est portée volontaire dans une ferme laitière située à Gouarec, en (...)

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