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Vu de Suisse. La France a-t-elle raison de déréférencer Wish ?

La France a frappé fort en décidant d’interdire aux moteurs de recherche de référencer le site de vente en ligne Wish. Mais c’est peut-être un acte avant tout symbolique, estime ce quotidien de Genève.

Je n’ai pas souvenir d’un tel cas en Europe concernant un site d’achat en ligne. Mercredi [24 novembre], la France a sorti l’artillerie lourde contre le site américain d’e-commerce Wish, demandant son déréférencement. En clair, Paris demande à tous les moteurs de recherche, Google y compris, de ne plus indexer le site web de Wish. Son application devrait également disparaître des magasins d’Apple et de Google. Par contre, le site web demeurera accessible en tapant son adresse, et l’entreprise pourra a priori continuer à afficher des publicités redirigeant l’internaute, d’un clic, vers son site web.

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Si la France frappe, d’apparence, aussi fort, c’est que les reproches adressés à Wish – qui compte 100 millions d’utilisateurs – sont accablants. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a analysé un petit échantillon de 140 produits vendus sur Wish. Résultats : 90 % des appareils électriques examinés étaient considérés comme dangereux, tout comme 62 % des bijoux fantaisie et 45 % des jouets.

Une demi-mesure

Ce sont des proportions gigantesques. Wish était critiqué depuis des années pour son laxisme sur la qualité des produits vendus. Et même des produits interdits par la France se sont retrouvés, peu après, sur le site de Wish sous d’autres noms.

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Très bien. Mais lorsque Bruno Le Maire,

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