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Vu d’Iran. Téhéran accuse Israël après l’assassinat d’un scientifique iranien

Après l’assassinat près de Téhéran de Mohsen Fakhrizadeh, l’un des “cerveaux” du programme nucléaire iranien, les autorités mettent clairement en cause Israël. Dans la presse, le quotidien Arman appelle toutefois le régime à ne pas tomber dans le piège de Benyamin Nétanyahou et l’incite à la patience en attendant l’investiture de Joe Biden aux Etat-Unis.

Vendredi 27 novembre, l’acteur clé du programme nucléaire iranien, Mohsen Fakhrizadeh, a été tué en plein jour à Absard, une petite ville à l’est de Téhéran. Les autorités iraniennes, dont le président Hassan Rohani et certains militaires, pointent du doigt Israël. Ce samedi, certains journaux ont consacré leur une à cet assassinat, le cinquième depuis 2010 parmi les scientifiques nucléaires iraniens.

Le piège de tensions”, titre le quotidien Arman, publiant en une la photo de Mohsen Fakhrizadeh et celle de sa voiture, criblée de balles. “Les autorités israéliennes n’ont pas l’intention de cacher leur rôle dans la mort du martyr Fakhrizadeh, scientifique nucléaire et spécialiste des recherches modernes dans le domaine de la défense”, soutient Arman.

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Le journal enjoint toutefois Téhéran de continuer sa “politique de patience stratégique” et de “prendre en compte la situation dans la région” pendant les deux prochaine mois, c’est-à-dire avant l’arrivée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden, en janvier 2021, qui pourrait avoir une approche plus conciliante avec l’Iran. Arman appelle le gouvenement iranien à ne pas tomber dans le piège du Premier ministre israélien

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