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La vitrine de sa boutique est trop colorée, il est convoqué par la police

Pour Charles Blique, c'est l'incompréhension. Le gérant éponyme de l'agence immobilière située à Nancy est tombé des nues, raconte L'Est Républicain, en début d'année lorsqu'un client est entré dans son agence (sans qu'il ne soit présent) et a demandé à ses collaborateurs de retirer toutes les affiches adhésives présentes sur les vitres. Dans le viseur du plaignant, la façade de la boutique et les couleurs, qui visiblement ne plaisent pas. Le cabinet Blique, qui a pignon sur rue, est en effet tout récent. Nouvelle enseigne, mélange de couleurs grise, noire et rose, et surtout des affiches adhésives sur les vitres.

Le vieux rideau de fer qui était présent auparavant a aussi disparu. Le patron explique que "tout a été fait dans les règles", et que ses adhésifs sont "changés chaque année". Hors de lui, il a donc décidé d'envoyer un courrier au maire de la ville pour lui demander les raisons de ces plaintes. "Si vous avez besoin de récupérer le local et que je quitte la commune, il est plus simple de me le dire franchement", lance-t-il dans son courrier qui est finalement resté lettre morte. Mais il y a quelques semaines, stupeur : il apprend qu'il est convoqué au commissariat.

Sur la convocation reçue le 5 avril mais datée du 25 mars pour une convocation le 29 mars… il lui est demandé de se rendre au commissariat avec son extrait KBis, une demande d'enseigne et les factures des travaux, détaille L'Est Républicain. De quoi provoquer l'ire du patron : "On a déjà du mal à travailler (...)

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