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Violences gynécologiques : le gynécologue Emile Daraï autorisé à reprendre des consultations dans le privé

JESHOOT

C'est une décision qui provoque la colère des plaignantes. Le mercredi 1er février 2023, une source judiciaire a confirmé à nos confrères de l'AFP que le gynécologue, Emile Daraï, mis en examen pour violences volontaires sur des patientes peut reprendre ses consultations dans le privé. C'est la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris qui a infirmé "le 18 janvier les dispositions de l'ordonnance du juge d'instruction qui lui interdisait dans le cadre de son contrôle judiciaire d'assurer des consultations de gynécologies privées". Ce sexagénaire, spécialisé dans la lutte contre l'endométriose, ancien chef du service de gynécologique-obstétrique et de médecine de la reproduction à l'hôpital Tenon, a été mis en examen fin novembre 2022 et placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de contact avec les plaignantes. En effet, le 28 septembre 2021, une enquête avait été ouverte pour viol par personne ayant autorité sur mineur de plus de 15 ans.

Puis cette enquête avait été élargie pour des faits de viols en réunion. Le lundi 3 janvier 2022, le gynécologue est soupçonné de violences par personne chargée d'une mission de service public suite à des plaintes d'actes de pénétration lors de consultations gynécologiques. Suite à ces signalements, l'AP-HP et Sorbonne Université avaient diligenté une enquête interne. Le rapport avait alors conclu que "l'obligation d'information de ces patientes, le soulagement de leur douleur, le respect de leurs volontés n'avaient pas été respectés". (...)

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