«Notre vie est devenue un enfer» : le ras-le-bol de ces habitants installés au-dessus d’un KFC parisien
Depuis qu’un restaurant KFC a vu le jour en bas de leur immeuble, la vie de ces riverains est devenue «un enfer». Au total, ce sont une vingtaine de familles qui sont impactées par l’arrivée du géant du poulet frit au 16 boulevard de Clichy (XVIIIe arrondissement), explique Le Parisien. Il y a d’abord les odeurs «de graillon», nuit et jour, mais ce n’est pas tout. Une femme habitant au deuxième étage explique que l’été, elle ne peut tout simplement pas ouvrir ses fenêtres à cause de l’extracteur d’air de climatisation qui «renvoie du chaud en permanence».
Mais les nuisances olfactives ne seraient rien à côté des nuisances sonores. En effet, le voisinage se plaint du bruit toute la journée, même le soir et tôt le matin puisqu’il ferme à 2h du matin. Sauf que «les équipes de nettoyage viennent souvent jusqu’à 3h, parfois 4h», résume une résidente. Résultat : les habitants ne peuvent plus dormir à cause des bruits de chaise ou des coups dans les poutres métalliques. Si la gérante a mis des patins sous les chaises, le bruit vient aussi des réfrigérateurs, de la climatisation, des lave-vaisselle ou même de l’alarme que les équipes de nettoyage oublient parfois de débrancher.
Les plaignantes ne comprennent pas toutes ces nuisances alors qu’à deux pas, un Subway n’en provoque pas autant. Dans un quartier où les discothèques et kebabs sont à tous les coins de rue, les habitants l’assurent : ils sont tolérants. «On a l’habitude du bruit, mais il y a des limites à tout», expliquent-ils dans (...)
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