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Victoria’s Secret : les nouveaux témoignages accablants d’Erin Heatherton et Selita Ebanks

Alors que la griffe de lingerie tente de renouveller son image, deux nouveaux témoignages de mannequins viennent la rappeler à ses vieux démons. Explications.

Chaque année depuis 1995, Victoria’s Secret organisait l’un des défilés de lingerie les plus regardés au monde. Un show ponctué de performances d’artistes, de costumes spectaculaires et, évidemment, de lingerie ultra sexy portée par des mannequins stars, dont les célèbres « Anges » de la marque américaine. Pendant vingt-quatre ans, cet événement retransmis à la télévision a fait de Victoria’s Secret la griffe de lingerie la plus populaire de la planète. Mais depuis trois ans, l’enseigne de lingerie ne séduit plus. Dans la société post #MeToo, sa façon de choisir des égéries selon des standards de beauté limités, faisant davantage référence à un fantasme masculin qu’à la diversité des morphologies existantes, dérange. La marque a également essuyé de multiples polémiques, dont les propos transphobes de son ancien chef marketing Ed Razek, figure phare de Victoria’s Secret, et les accusations liant Les Wexner, présentent de L Brands, la société mère, à l’affaire Jeffrey Epstein, homme d’affaires coupable de trafic de mineurs. En 2019, une pétition signée par plusieurs mannequins dénonçait même la culture misogyne qui régnait au sein de l’entreprise. Avant elles, des anciennes égéries et grands noms du mannequinat avaient déjà dénoncé la culture de l’entreprise, notamment Adriana Lima et Karlie Kloss. Une enquête du « New York Times » révélera ensuite au grand jour des accusations d’attouchements...

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