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"Qui veut être mon associé ? " : comment les candidats valorisent leur start-up ?

Pierre Olivier/M6

La valorisation est une étape essentielle pour faire entrer des investisseurs dans le capital d'une start-up et pourtant son évaluation peut différer. Comment s'y prendre ? Plusieurs éléments de réponses avec des professionnels.

Bientôt le clap de fin pour la saison 3 de l'émission "Qui Veut être mon associé ?" sur M6 qui diffuse ce mercredi 1er février son avant-dernier épisode. L'une des grandes constantes du programme a été la valorisation des start-up à la recherche d'investisseurs. Entre certaines d'entre-elles valorisées à plusieurs millions d'euros et d'autres à quelques centaines de milliers d'euros, comment juger de la différence ? Comment s'y sont-elles prises pour valoriser leur entreprise qui n'a parfois pas encore pu fabriquer le moindre produit ?

Lire aussi"Qui veut être mon associé ?" sur M6 : 11 expressions pour tout comprendre

Plusieurs méthodes sortent du lot

Jean-Pierre Nadir, l'un des investisseurs de l'émission a fait part sur LinkedIn de sa méthode de calcul car malgré la jeunesse de certaines sociétés, située entre 0 et huit ans, la valorisation repose sur des mathématiques. Selon le fondateur de fairmoove.fr, pour les start-ups, pas encore rentables, il faudrait trouver un multiple entre un et 10 et l'appliquer au chiffre d'affaires. D'après un rapport de l'Insee, la moyenne du chiffre d'affaires des jeunes entreprises en 2018 était de 277.000 euros, soit au maximum une valorisation moyenne de 2,77 millions d'euros. "Il y a deux grandes catégories de méthode de valorisation : la méthode intrinsèque basée sur la rentabilité et la méthode analogique plus souvent utilisée par les entrepreneurs avec des multiples de marché en se basant sur des entreprises comparables", explique Joëlle Lasry, experte-comptable spécialisée dans la valorisation d'entreprise.

"Il n'y a pas le même risque entre un investissement dans une entreprise mature et une start-up", souligne-t-elle. Pour un business angel ou un fonds de venture, le risque est plus important lorsqu'il rachète les parts d'une entreprise naissante, en raison de son avenir incertain. C'est la raison pour laquelle les investisseurs solidifient leur entrée au capital avec des "actions de préférence" qui leur ouvrent des "[...]

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