Vendée : Comment le premier parc aquatique de France fait-il face à ses énormes dépenses?
TOURISME - Après deux années de crise, le parc aquatique vendéen, qui rouvre ses portes samedi, espère retrouver une saison estivale florissante. Histoire d'amortir ses dépenses colossales pour séduire les visiteurs
Ils sont nombreux sur la Côte d’Azur et sur le littoral languedocien, là où la température grimpe très régulièrement au-delà des 30 degrés l’été. Mais c’est bien à une heure de route de Nantes, en Vendée plus précisément, qu’il faut chercher le premier parc aquatique de France par sa fréquentation. Créé en 2016 au Bernard, O’Gliss park accueillait plus de 200.000 visiteurs avant la crise sanitaire grâce, notamment, à ses 12 toboggans, ses cascades, sa végétation luxuriante, ses activités pour jeunes enfants et ses espaces VIP réservables plusieurs semaines à l’avance. Retombé à 168.000 entrées l’an passé, le site de 7 hectares espère retrouver la foule pour cette nouvelle saison, sa septième, qui débute samedi.
Il faut que dire que l’enjeu économique est énorme pour le propriétaire. « On avait investi 12 millions d’euros pour l’ouverture du parc mais, depuis, on dépasse allègrement les 25 millions d’euros dépensés. Chaque année on réinvestit près d’un million d’euros pour améliorer les structures et l’expérience », raconte Michaël Thibaud, directeur-fondateur du site. Plusieurs nouveautés sont, cet été encore, annoncées.
Des frais de fonctionnement colossaux
O’Gliss park fait auss(...) Lire la suite sur 20minutes
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