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Variole du singe : "on ne sait pas grand chose sur la transmissibilité du virus"

1 cas, puis 7, puis 16… La progression de la variole du singe en France a comme un air de déjà vu. Mais contrairement à la Covid-19, aucun décès n'est à déplorer parmi près de 400 cas détectés dans le monde. Si la maladie semble bénigne et ne dure que trois semaines, elle revêt plusieurs inconnues selon l’épidémiologiste suisse Antoine Flahault. Le directeur de l’Institut global de Genève appelle les autorités sanitaires à rester proactives, compte tenu d’un niveau de connaissances du virus “insuffisant” à ce jour. Entretien.

Capital : À vous lire sur Twitter, on a l’impression qu’on ne connaît rien de la variole du singe. Pourtant, contrairement à la Covid-19 apparue fin 2019, cette maladie a été découverte dans les années 1950…

Antoine Flahault : C’est vrai, on connaît la variole du singe depuis 1958. C’est dans une animalerie que ce virus a été découvert. Il a ensuite fallu attendre les années 1970 pour qu’un premier cas soit identifié chez un enfant en République démocratique du Congo (RDC). Le virus s’est ensuite développé en Afrique de l’Ouest. Pour autant, ça ne suffit pas pour avoir une connaissance approfondie du virus.

Capital : Pourquoi ?

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Antoine Flahault : Parce que les pays d’Afrique subsaharienne ne bénéficient pas du même investissement dans la recherche que les pays riches. Même au Nigéria, où le virus circule régulièrement depuis 2017, on ne dispose pas d’une expertise équivalente à celle des pays du Nord. Et comme la variole du singe n’a jamais défrayé la chronique (...)

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