Variole du singe (Mpox) : «Pas question de promouvoir une vaccination à grande échelle»
Devrons-nous tous nous faire vacciner contre la maladie mpox (anciennement appelée «variole du singe») ? Alors qu’un nouveau clade (ou variant) du virus, appelé Ib, est apparu en Afrique, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié, lundi 2 septembre, de nouvelles recommandations vaccinales, comme le rapporte Le Parisien. Depuis l’épidémie mondiale en 2022, seules les personnes considérées comme les plus à risque étaient incitées à se faire vacciner. Il s’agit des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et rapportant des partenaires sexuels multiples, les personnes trans, les travailleurs du sexe et les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle.
À l’époque, le clade II du virus se transmettait en effet principalement par voie sexuelle, et la grande majorité des personnes infectées étaient des hommes homosexuels ou bisexuels. Aujourd’hui, le clade Ib se transmettant également surtout lors de rapports sexuels, la HAS «considère que les cibles de cette vaccination restent inchangées depuis ses précédentes recommandations». Les catégories de personnes à qui deux doses de vaccin sont recommandées restent donc les mêmes.
«Il n’est pas question à ce stade de promouvoir une vaccination à grande échelle, car on pense suivre la même trajectoire qu’il y a deux ans», plaidait l’infectiologue Karine Lacombe dans les colonnes du Parisien, en espérant que l’épidémie finisse par disparaître grâce à «l’isolement des patients et la vaccination des personnes exposées». (...)
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