Publicité
La bourse ferme dans 7 h 10 min
  • CAC 40

    8 237,51
    +32,70 (+0,40 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 095,63
    +13,89 (+0,27 %)
     
  • Dow Jones

    39 760,08
    +477,75 (+1,22 %)
     
  • EUR/USD

    1,0781
    -0,0049 (-0,45 %)
     
  • Gold future

    2 213,20
    +0,50 (+0,02 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 581,90
    +890,96 (+1,38 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,57
    +0,22 (+0,27 %)
     
  • DAX

    18 498,41
    +21,32 (+0,12 %)
     
  • FTSE 100

    7 954,69
    +22,71 (+0,29 %)
     
  • Nasdaq

    16 399,52
    +83,82 (+0,51 %)
     
  • S&P 500

    5 248,49
    +44,91 (+0,86 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2588
    -0,0050 (-0,39 %)
     

Val-de-Marne : le propriétaire louait un 9 m²… à sept personnes

Pixabay

La cupidité de certains bailleurs n'a pas de limites. Comme le raconte Actu.fr, un propriétaire du Val-de-Marne a été épinglé pour avoir loué pendant des mois un bien de 9 m² à une famille composée de sept personnes. Une pièce exiguë, basse de plafond, déclarée par la suite insalubre, et louée tout de même entre 500 et 700 euros par mois. Rien que ça. Parmi ces sept personnes, il y avait deux mineurs. L'appartement était si petit que deux d'entre eux devaient dormir sur le palier ou dans les parties communes.

Mais le propriétaire a commis une erreur en expulsant la famille en plein hiver au mois de décembre dernier. En effet, il est interdit de procéder à une expulsion en période de trêve hivernale. Il avait aussi jeté toutes les affaires des locataires dans la rue. La justice va se saisir du dossier finalement le 27 décembre et procéder à l'interpellation de l'individu il y a quelques jours. Placé en garde à vue, il a déclaré aux policiers avoir "voulu rendre service", détaillent nos confrères.

Poursuivi pour "soumission de plusieurs personnes vulnérables à des conditions d'hébergement indignes" ainsi que "manœuvres, menaces, voie de fait ou contrainte pour forcer une personne à quitter son lieu d'habitation", le marchand de sommeil a finalement été condamné à trente mois de prison, dont vingt-quatre avec sursis, les six mois s'accompagnant d'un mandat de dépôt. Il a écopé également de 30.000 € d'amende et ne pourra pas acquérir de bien pendant dix ans. Son appartement a aussi (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Taxe de séjour : pourquoi l'île d'Oléron réclame une somme faramineuse à Airbnb
Immobilier locatif : opportunités à saisir sur les passoires thermiques
Acheter une passoire thermique, un investissement ultra rentable
HLM : demande de logement social, dossier et plafond
Passoires énergétiques : quels logements sont désormais interdits à la location ?