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Les vacances en mode stage de survie, pour «une prise de recul sur sa vie pro et perso»

Illustration Capital

Des vacances au calme à la plage ? Très peu pour eux. Pour vraiment vivre l’aventure aujourd’hui, certains se lancent dans un séjour 100% en auto-stop, comme Capital l’a décrit dans le premier épisode de sa série sur les vacances pas comme les autres de certains Français. Mais depuis quelques années, des séjours d’un nouveau genre séduisent toujours plus de vacanciers en quête de vraies sensations fortes. Pour preuve, «aujourd’hui, on propose 130 stages de survie dans l’année et ils affichent quasiment tous complets», expose Denis Tribaudeau, qui a lancé il y a 20 ans, avec sa femme, sa propre société organisant des stages de survie. Et les plateformes se spécialisant dans ces séjours sont, elles aussi, toujours plus nombreuses (Nomade Aventure, Kazaden…).

Chaque stage proposé par Denis Tribaudeau regroupe une dizaine de personnes, pour tous types de séjours. Ces vacances en mode survie peuvent en effet aller d’un week-end en pleine forêt francilienne pour 179 euros à une dizaine de jours à l’autre bout du monde pour un peu moins de 3 000 euros. Des tarifs et des destinations qui varient donc, mais toujours avec le même objectif de revenir à l’essentiel. La liste des équipements acceptés est donc réduite au strict minimum : un t-shirt, un pantalon, un couteau, de la crème solaire et une casquette si nécessaire… «On a aussi le droit d’avoir notre téléphone mais uniquement pour prendre des photos», témoigne Olivier, 45 ans, déjà parti trois fois dans le cadre des stages de survie (...)

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