USA: +1,1% de production industrielle en novembre
(CercleFinance.com) - La production industrielle des États-Unis a rebondi de 1,1% en novembre, selon les données de la Réserve fédérale.
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La star de Terminator a tourné cette vidéo pour inciter les Américains à se faire vacciner, alors que le coronavirus fait des ravages aux États-Unis.
Vêtue de jaune, la tête coiffée d'une couronne rouge, la jeune poétesse afro-américaine Amanda Gorman a captivé le public mercredi lors de la cérémonie d'investiture de Joe Biden, avec ses vers appelant à l'unité des États-Unis. Âgée de 22 ans seulement, la jeune femme originaire de Los Angeles a récité un poème de sa composition, « The hill we climb » (La colline que nous gravissons), une référence à la colline du Capitole, où des partisans de Donald Trump ont envahi le siège du Congrès le 6 janvier.Son texte, qu'elle a écrit d'une traite après cet assaut meurtrier, évoque « une force qui va briser notre Nation, plutôt que la partager ».« Cet effort a presque réussi/ mais si la démocratie peut-être par instant retardée, elle ne peut pas être définitivement supprimée ».D'une voix calme, elle a scandé ses rimes, en les accompagnant de mouvements graciles, ne laissant pas percer un bégaiement qui, comme Joe Biden, l'a affectée dans son enfance. Et qui l'a aussi poussée à écrire, pour compenser. La poétesse s'est décrite comme « une fille noire maigre, descendante d'esclaves, élevée par une mère célibataire », qui se retrouve « à réciter » devant un président.Enfant prodige, elle a remporté son premier prix de poésie à 16 ans, et a été couronnée du titre de « meilleur jeune poète » du pays trois ans plus tard, alors qu'elle étudiait la sociologie à la prestigieuse université Harvard. Avant elle, cinq autres poètes, dont Robert Frost et Maya Angelou, ont participé aux cérémonies d'investiture de présidents américains, mais aucun n'était aussi jeune.Selon la presse américaine, son nom a été soufflé aux organisateurs de la cérémonie par Jill Biden, l'épouse du 46e président, qui avait assisté à une de ses lectures. Leur commande, passée en décembre: qu'elle rédige une ode à l« Amérique unie », en écho au discours du démocrate.Son texte s'y plie, sans nier les défis du présent. « Nous allons transformer ce monde blessé en un autre, merveilleux. » « Il y a toujours de la lumière si nous sommes assez courageux pour la voir. Si seulement nous étions assez courageux pour l'être. »
Les clubs de Ligue 2 ont continué de s'affronter en Coupe de France, mercredi 20 janvier. Clermont s'est incliné aux tirs au but (2-4) face à Grenoble. Les Isérois affronteront l'AS Monaco au prochain tour. En début de soirée, Toulouse s'est imposé (1-0) face à Niort.
Depuis le mois de décembre, plusieurs variants potentiellement plus contagieux, ou moins sensibles à la réponse immunitaire, font leur apparition.
Le président français a adressé, mercredi dans un tweet en anglais, ses "meilleurs vœux de succès" au nouveau président américain.
Les associations et parlementaires interrogés par franceinfo espèrent que le cadre législatif évoluera avant que cette commission rende ses conclusions, fin 2022.
Dans La vie aquatique diffusé ce soir sur Arte, Bill Murray embarque un drôle d'équipage de bonnets rouges dans une rocambolesque chasse au requin-jaguar. Cette odyssée loufoque et poétique est une merveille.
Amanda Gorman est devenue, à 22 ans et dix mois, la plus jeune poétesse intervenant lors d'une cérémonie d'ouverture ce mercredi. La jeune carrière de cette femme de lettres venue de Los Angeles est déjà jalonnée de succès.
GARCHES, Hauts-de-Seine (Reuters) - Trois jours après l'élargissement de la campagne de vaccination contre le COVID-19 aux plus de 75 ans, de nombreux centres de vaccination déplorent de devoir annuler des centaines de rendez-vous, faute d'obtenir les doses suffisantes pour répondre à la demande."Je suis un peu en colère de voir l’impréparation des services de l’Etat", a dit à Reuters Jeanne Becart, maire de Garches (Hauts-de-Seine), en début de semaine, au moment d'apprendre que la commune ne recevrait que de 420 doses entre le 18 et le 24 janvier, alors que le centre avait déjà pris quelque 1.
La tenue de la vice-présidente était un clin d'œil au bipartisme américain, et au mouvement des suffragettes.
Entre 3 et 5 millions de femmes seraient touchées par l'incontinence urinaire. Encore tabou, ce trouble peut se révéler très handicapant dans la vie quotidienne, perturbant la vie professionnelle, intime et sociale des patientes. Yannick Rouach, chirurgien urologue, fait le point dans Sans rendez-vous, sur Europe 1, pour déconstruire les idées reçues.
LE CINE EN QUESTION. Dans Mission : Impossible III, diffusé ce soir sur 6ter, l'agent Ethan Hunt accomplit d'incroyables prouesses physiques comme dans tous les volets de la saga. Mais est-ce bien l'acteur Tom Cruise qui réalise ces cascades ?
Alors que le mercato hivernal du PSG devrait être calme, Mauricio Pochettino pourrait cependant opérer de grands changements au sein de son effectif durant l’intersaison. Le mercato estival pourrait donc être mouvementé et Keylor Navas pourrait bien être inquiété à cette occasion. Explications. Dans son dernier entretien pour France Football , Leonardo a annoncé la couleur pour le mercato hivernal du PSG . Le directeur sportif parisien a ainsi confié qu’il ne fallait pas s’attendre à de grosses folies pour ce mois de janvier, avouant : « On verra les opportunités, surtout à travers des prêts. Ça va dépendre aussi de nos besoins parce que nous avons déjà vingt-huit joueurs au sein de l’effectif. Mais nous sommes à l’écoute, forcément ». Cependant, à l’été, la tendance pourrait bien être différente. En effet, à l’intersaison, Mauricio Pochettino pourrait bien lancer les grandes manoeuvres pour totalement chambouler son effectif. De grands noms sont d’ailleurs déjà évoqués dans la capitale à l’instar de Lionel Messi , Sergio Agüero, Harry Kane, Paul Pogba ou encore Joao Felix . Cela pourrait donc bouger et le poste de gardien pourrait même être concerné. « Navas ? Un des meilleurs…
Joe Biden s'est adressé aux Américains mercredi en lançant dans son discours d'investiture un message d'espoir et un appel à l'unité, tout en évoquant les immenses défis qui attendent le pays: pandémie, changement climatique, inégalités croissantes ou racisme systémique.
Une page se tourne aux Etats-Unis. Le président élu Joe Biden et sa vice-présidente Kamala Harris ont prêté serment au Capitole devant les ex-présidents Barack Obama, George W. Bush et Bill Clinton, mais en l'absence de Donald Trump. Joe Biden, qui accède à la présidence à 78 ans après un demi-siècle en politique, entend marquer dès le premier jour le contraste avec l'ancien homme d'affaires de New York.
Une convention sur le financement des Centres de préparation aux Jeux par l'Agence nationale du sport, à hauteur de 20 M€, est signée jeudi en même temps que l'installation d'un comité de pilotage pour l'attribution des aides.
Une page se tourne aux Etats-Unis. Le président élu Joe Biden et sa vice-présidente Kamala Harris ont prêté serment au Capitole devant les ex-présidents Barack Obama, George W. Bush et Bill Clinton, mais en l'absence de Donald Trump. Joe Biden, qui accède à la présidence à 78 ans après un demi-siècle en politique, entend marquer dès le premier jour le contraste avec l'ancien homme d'affaires de New York.
C’est un petit miracle. Quand un peu partout ailleurs toutes les foires ont été annulées, 1:54, la plus grande foire dédiée à l’art contemporain africain et sa diaspora, a ouvert ce mercredi 20 janvier ses portes rue Matignon à Paris. Cette édition hybride hébergée chez Christie’s propose « le meilleur du continent africain et de la diaspora africaine », dont beaucoup d’œuvres réalisées en 2020 et 2021, pendant la pandémie de Covid-19. Entretien avec Touria El Glaoui, la fondatrice et directrice de 1:54. RFI : On vous connaît avec 1:54 depuis 2013 à Londres, depuis 2015 à New York et 2018 à Marrakech. Vous avez annulé l’édition 2021 au Maroc pour vous lancer la première fois en France, avec 19 galeries internationales présentées. À l’époque de la pandémie, Paris, est-ce le lieu idéal pour une foire dédiée à l’art contemporain africain ?Touria El Glaoui : Pour nous, c’est une nouvelle expérience importante. Cela nous permet de découvrir une autre ville et cela nous permet de faire connaître les artistes de ce continent africain et de la diaspora africaine sur une plateforme qu’on n’aurait pas forcément utilisée normalement. C’est vraiment une opportunité. Paris, est-ce actuellement le meilleur endroit pour organiser une foire d’art contemporain hybride, à la fois virtuelle et avec une présence physique d’artistes, de galeristes et de collectionneurs ? Tout à fait. Aujourd’hui, il faut penser à des événements beaucoup plus petits et beaucoup plus spécialisés pour une audience locale. C’est à dire, qu’on n’essaie pas d’avoir des collectionneurs internationaux. C’est une foire qui a été faite pour Paris et on essaie d’avoir une audience beaucoup plus française et parisienne, que ce soit au niveau des galeries et des artistes. Il y a beaucoup de noms célèbres comme Chéri Samba, Romuald Hazoumè ou Barthélémy Toguo, mais aussi des artistes moins connu comme Cristiano Mangovo, René Tavares, Kelani Abass, Delphine Desane ou Roméo Mivekannin, avec une fresque géante intitulée Le Radeau de la Méduse, réalisée en 2021. Est-ce une œuvre emblématique pour le marché de l’art actuel ? Je pense que oui, mais, en termes de taille et de beauté, elle est surtout emblématique pour la foire. Elle se prête très bien à son emplacement dans l’atrium de la maison aux enchères Christie’s. Elle est un peu le « waouh »-facteur pour les gens qui viennent voir ce qu’on fait de mieux sur le continent africain et la diaspora africaine. Beaucoup d’œuvres ont été réalisées en 2020 et même en 2021. La pandémie, a-t-elle changé la manière de créer, les supports, les sujets, les formats ? Il est clair que ce virus a touché tout le monde, les artistes autant que les galeries, donc ils arrivent à nous transmettre une idée de ce qu’ils ont vécu. Ce qui est intéressant, c’est de voir aujourd’hui ces œuvres réunies, de montrer que l’art est toujours plus beau en vrai qu’en mode virtuel. C’est une chance de pouvoir faire un événement hybride où les gens ont aussi la possibilité de venir voir les œuvres physiquement. Vu les contraintes omniprésentes, c’est un petit miracle de pouvoir regarder ces œuvres sur place, à Paris. Quelles étaient les difficultés de faire venir les œuvres, les artistes, les galeristes, les collectionneurs ? Pour les collectionneurs, cela n’a pas été trop difficile, parce qu’il y a un vrai manque en ce moment. Toutes les institutions sont fermées, les expositions n’ont pas pu avoir lieu. Je l’ai vu moi-même le week-end dernier quand j’ai fait le tour des galeries. On sent bien que les gens ont envie de voir des choses. Toutes les galeries parisiennes sont pleines actuellement pendant les week-ends. Donc, je pense que c’est super important pour les galeries de pouvoir participer à un événement physique. Cela permet une nouvelle avenue commerciale pour elles. Pour nous, la difficulté principale, c’était la non-visibilité jusqu’au dernier moment, parce qu’on avait peur que les choses puissent encore changer. Il y avait beaucoup de risques. Comment avez-vous réussi à réaliser la foire ? On commencé à être une foire très adaptable et flexible par rapport à ces choses. On a eu beaucoup d’expertise après à notre événement de Londres qui a été organisé avec la possibilité d’une annulation à tout moment. On a repris un peu le blueprint de ce qu’on a fait à Londres pour Paris en pensant à la possibilité d’une annulation et d’avoir un complément digital au cas où... Et puis, on a pu aussi être plus flexible grâce à Christie’s concernant l’espace et une annulation éventuelle. Ils nous ont mis à disposition l’espace. Cela nous a réduit les risques en termes de coût. Vous voyez l’offre virtuelle comme un « complément ». D’autres, au contraire, observent sur le marché de l’art actuellement un virage numérique, une véritable explosion des ventes numériques. Pour eux, c’est plutôt la présence physique d’une foire qui deviendra de plus en plus un complément des plateformes en ligne et des dispositifs virtuels. Comment voyez-vous l’avenir entre présentiel et virtuel sur le marché de l’art contemporain africain ? Je pense que la foire digitale va rester quelque chose qui va toujours accompagner les foires physiques. En revanche, je pense que cela va prendre beaucoup de temps que les gens aient moins peur de revenir dans de grands événements. Donc, il sera indispensable de continuer à avoir une présence digitale. Je pense qu’on a le bon modèle. Les plus grandes foires vont devoir s’adapter à un modèle qui est plus engageant pour une audience qui a vécu un trauma de confinement et de peurs d’attraper le coronavirus. Notre formule « petite, adaptable et flexible », qu’on a depuis toujours, permet à 1:54 d’attirer une certaine audience qui est beaucoup plus confortable quand ils voient qu’il n’y a pas beaucoup de monde et les règles barrières sont respectés et les gens se protègent. C’est quand même possible d’apprécier l’art et de ne pas être juste limité au digital. Depuis le début de cette pandémie, le monde de l’art cherche une solution pour sortir de cette crise provoquée par la pandémie. Quels sont pour vous les plus importants changements ? D’un point de vue général, le fait qu’on a le digital avec nous, cela a été décisif pour la vente des œuvres et la survie des artistes. Il est possible de découvrir un artiste sur Instagram, de faire ses recherches sur Internet, d’avoir des foires virtuelles. Tout le monde, qui avant avait des limites concernant ce qu’il pouvait acheter en ligne, s’est aperçu qu’il pouvait faire non seulement confiance et acheter à des prix beaucoup plus élevés, mais aussi d’avoir une provenance qui était aussi déterminée en ligne. Toutes les galeries, même les plus importantes se sont mises à faire découvrir leurs artistes en ligne. Concernant les artistes du continent africain et de la diaspora africaine, il y a beaucoup de nouveaux noms, de nouvelles galeries. D’un point de vue digital, c’est très bien pour les galeries bien établies avec des artistes très établis, mais beaucoup plus difficiles pour les galeristes et artistes moins connus. Donc, il est très important pour les gens qui découvrent l’art du continent africain, d’avoir quand même physiquement accès aux œuvres. ► 1:54, foire d'art contemporain dédiée à l'art contemporain africain et sa diaspora, du 20 au 23 janvier 2021 en édition virtuelle et en édition présentielle chez Christie's, à Paris.
Sergio Pérez, le pilote mexicain de 30 ans, pilotera pour Red Bull-Honda F 1 à côté de Max Verstappen, en 2021. Jamais il n'avait bénéficié d'une voiture aussi compétitive dans toute sa carrière.
Le démocrate a été malgré lui l'une des stars de la cérémonie à Washington.