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Universités. Royaume-Uni : les chercheurs survivront au Brexit

En devenant “membre associé” d’Horizon Europe, le programme européen de financement de la recherche, le Royaume-Uni préserve les partenariats conclus avec les universités du continent. Mais pour travailler dans le pays, les chercheurs européens ont désormais besoin d’un visa.

L’Université d’Edimbourg a été créée en 1583. “Nous avons survécu aux guerres napoléoniennes et nous survivrons au Brexit”, plaisante Jonathan Seckl, professeur de médecine et responsable de la recherche de l’établissement. Il ne cache néanmoins pas l’immense soulagement qu’il a ressenti en découvrant les détails de l’accord entre Londres et Bruxelles sur les relations post-Brexit, signé le 24 décembre.

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Après des années de doute, la recherche est l’un des rares domaines où le statu quo l’a emporté. Le Royaume-Uni reste dans Horizon Europe, le principal programme de financement européen, doté de 95 milliards d’euros de 2021 à 2027.

“Une excellente nouvelle pour la recherche”

“C’est une excellente nouvelle pour nos collègues, une excellente nouvelle pour la recherche et une excellente nouvelle pour le monde”, estime Jonathan Seckl. Son université a reçu 238 millions d’euros (256 millions de francs) de fonds européens de 2014 à 2020, pour 370 projets, ce qui la place au cinquième rang de son pays. Cet argent a notamment permis de participer à des études sur les fonds sous-marins de l’Atlantique Nord ou à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans la lutte contre le cancer.

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Ce soupir de soulagement est partagé par l’ensemble du monde de la recherche au Royaume-Uni. À l’instar de 16 pays, dont la Suisse, le pays va devenir un “membre associé” d’Horizon Europe.

Il reste aussi, dans le projet Copernicus, une constellation de satellites d’étude de la planète et du climat. Son

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