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UniCredit donne son feu vert à une "bad bank" avec Intesa et KKR

Le conseil d'administration d'UniCredit, première banque italienne par les actifs, a donné son feu vert jeudi au lancement avec Intesa Sanpaolo et KKR d'une structure de défaisance qui reprendra les créances douteuses du secteur bancaire du pays. /Photo prise le 17 février 2015/REUTERS/Stefano Rellandini

MILAN (Reuters) - Le conseil d'administration d'UniCredit, première banque italienne par les actifs, a donné son feu vert jeudi au lancement avec Intesa Sanpaolo et KKR d'une structure de défaisance qui reprendra les créances douteuses du secteur bancaire du pays.

Les deux banques espèrent qu'en regroupant ces actifs à problème, et avec l'apport de l'expertise de KKR, la société américaine de capital-investissement, il sera plus facile de récupérer ou de revendre ces dettes.

Au départ, quelque deux milliards d'euros de prêts seront concernés mais ce montant pourra être revu à la hausse par la suite, a déclaré Federico Ghizzoni, l'administrateur délégué d'UniCredit.

"Il n'y a pas de montant maximum", a-t-il dit, ajoutant que le projet de "bad bank" prendrait vite forme après plus d'un an de discussions. "Nous ne parlons pas de mois, c'est presque prêt", a-t-il assuré.

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Les créances douteuses détenues par les banques italiennes s'élevaient à environ 330 milliards d'euros à la fin juin 2014.

Federico Ghizzoni a ajouté qu'UniCredit avait connu un bon premier trimestre, avec des performances "supérieures aux attentes" en Russie.

(Silvia Aloisi et Gianluca Semeraro, Véronique Tison pour le service français)