Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    40 861,71
    +124,75 (+0,31 %)
     
  • Nasdaq

    17 395,53
    +369,65 (+2,17 %)
     
  • Nikkei 225

    35 619,77
    -539,39 (-1,49 %)
     
  • EUR/USD

    1,1019
    -0,0004 (-0,03 %)
     
  • HANG SENG

    17 108,71
    -125,38 (-0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    52 261,22
    -316,00 (-0,60 %)
     
  • XRP EUR

    0,49
    -0,00 (-0,65 %)
     
  • S&P 500

    5 554,13
    +58,61 (+1,07 %)
     

Ukraine : Emmanuel Macron alerte sur la sécurité en Europe «si la Russie venait à gagner»

Christian Liewig-Corbis/Getty Images

Sa prise de parole était très attendue. Deux jours après le soutien apporté par l’Assemblée nationale à l’accord de sécurité entre Paris et Kiev, et après ses propos tenus fin février sur un possible envoi de troupes militaires en Ukraine, Emmanuel Macron devait clarifier les choses. «Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique rien ne doit être exclu», avait alors déclaré le chef de l'État. Ce jeudi 14 mars, le président français s’est montré ferme : «La Russie ne peut pas et ne doit pas gagner cette guerre», en ajoutant que si les choses venaient à «dégénérer», ce ne serait «que la responsabilité de la Russie».

Emmanuel Macron a assumé ses propos relatifs à un possible envoi de troupes en Ukraine, mais a tenu à rassurer dans un premier temps : «Jamais nous ne mènerons d’offensives, mais pour avoir la paix en Ukraine, il ne faut pas être faible.» Il a qualifié cette guerre d’«existentielle» pour l’Europe et la France, car elle se joue sur le sol européen. Et de mettre en garde : «Si la Russie gagne cette guerre, la crédibilité de l'Europe sera réduite à zéro.» Pas d’«initiative» donc, mais aujourd’hui, «la sécurité de l’Europe et des Français se joue là-bas (en Ukraine, ndlr)», a-t-il mis en garde.

D’ailleurs, en cas d’«escalade», les Occidentaux doivent être «prêts à répondre», selon lui. «Si la Russie venait à gagner (..) nous n'aurons plus de sécurité.» Le chef de l’État a martelé que le (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Il escroque 600 000 euros à la Sécu pour financer des achats immobiliers
Du combat à l'innovation : comment Eva Ngalle révolutionne les échanges entre parents séparés
Les professionnels de la petite enfance dénoncent les tarifs exorbitants des «experts en parentalité»
Amélie Oudéa-Castéra mise en examen pour diffamation envers Noël Le Graët : les coulisses de l'affaire
Cyberattaque de France Travail : que faire en cas de violation de vos données personnelles ?