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Tourisme : la croisière reprend la mer

Alors que les ports français sont toujours fermés, deux paquebots MSC et un Costa naviguent à nouveau le long des côtes italiennes.

«Nous avons pris cher, nous avons été montrés du doigt, il faut réinstaller une relation de confiance.» Sophie Baillot, directrice de l’agence Un océan de croisières et agent général France pour la compagnie Cunard, ne mâche pas ses mots quant à l’état de santé de ce secteur du tourisme, stoppé net par la crise sanitaire. Après une reprise anecdotique à l’été 2020, la saison européenne 2021 s’ouvre ces jours-ci en Italie «pour se dégourdir les jambes». Une répétition générale dans laquelle les armateurs jouent leur salut.

Lire aussi:Coronavirus et tourisme : quels sont les droits du voyageur ?

En un an, avec une perte globale estimée à 40 milliards d’euros (soit une chute du chiffre d’affaires de – 73% à – 80%, selon une étude du cabinet Roland Berger), chacun a travaillé avec acharnement sur ses protocoles sanitaires et aménagements des bateaux afin de prouver qu’«un paquebot peut être l’endroit le plus safe pour passer ses vacances », selon Patrick Pourbaix, DG France-Belgique de MSC. « La hantise, c’est le “Diamond Princess” », reconnaît-il. En février 2020, ce paquebot s’était transformé en cluster géant, avec passagers et équipage en quarantaine dans le port de Yokohama. Les images avaient fait le tour du monde. Et tout semble mis en œuvre aujourd’hui pour éviter qu’un tel désastre ne se répète. Les croisiéristes reprennent la parole pour annoncer les nouvelles règles, tout en dévoilant leurs programmes d’été, concentrés sur la Méditerranée et l’Europe du Nord. À ces conditions, ils embarqueront des clients « report », qui attendent, voucher en poche, de partir enfin pour une croisière, réservée mais annulée en 2020.

Pour les passagers, il faudra se soumettre à un test de dépistage à l’embarquement, parfois(...)


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