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Test the Wreck : vous allez pleurer

Après le poignant et percutant Enterre-moi, mon Amour (un indispensable, faites-le !) et l’intriguant Inua, a Story in Ice and Time, le studio parisien The Pixel Hunt poursuit ses expérimentations narratives avec The Wreck, un récit intime aussi touchant qu’ingénieusement construit et mis en scène.

The Wreck nous jette sans grand ménagement dans la vie de Junon, une jeune trentenaire dont la mère vient d’être admise en soins intensifs après une rupture d’anévrisme. Faute de directives anticipées, elle est la personne de confiance qui doit prendre une décision cruciale et… eh bien, je n’en dirai pas plus. Ne comptez pas sur moi pour gâcher votre découverte du récit qui, jeu narratif oblige, sera évidemment au cœur de votre expérience.

Tout ce que je peux vous dire, c’est que le titre s’articule autour de saynètes dans le « présent » (souvent des dialogues), mais explore aussi certains souvenirs de la vie de Junon. On y accède au travers des réminiscences d’un accident de voiture que l’on revit plusieurs fois (de manière de plus en plus intense et brutale, pour ma part). Il agit comme un déclencheur, ouvrant la porte à des bribes de récit qui vont enrichir la trame du jeu de manière souvent inattendue. Telles les pièces d’un puzzle, tout s’imbrique peu à peu pour éclairer les événements du présent d’une tout autre manière.

The Wreck, ou la Bitter sweet symphony

Ces souvenirs sont également l’occasion pour The Wreck de s’essayer à une mise en scène plus audacieuse.

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