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Test de Atomic Heart : un FPS grossier

Depuis son annonce il y a cinq ans, Atomic Heart fait sérieusement du gringue aux fans de BioShock, en manque de nouveaux titres à se mettre sous la dent. Eh bien vous savez quoi ? Parfois, c’est bien de juste relancer BioShock.

Bienvenue au sein du complexe 3826. On est en juin 1955 et dans une réalité alternative, l’URSS inaugure aujourd’hui Kollektiv 2.0 — un réseau neuronal qui connecte des milliers de robots à travers le pays. Une avancée technologique majeure, qui permettrait même aux humains de contrôler les machines et d’accéder à un niveau de connaissance que personne n’osait envisager jusque-là. Évidemment, les choses tournent mal et en pleine cérémonie d’inauguration, les robots se mettent à tuer tout le monde. La tuile. Fort heureusement, le brun barbu de service est là. C’est notre héros, un soldat surentraîné nommé Sergei Nechaev, qui va devoir stopper la rébellion des robots moustachus et sauver le monde.

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Cela saute aux yeux dès le premier contact : Atomic Heart sait faire parler ses décors. Loin d’être un foudre de guerre technique, il enchaîne toutefois les bonnes idées de mise en scène. Il nous balade d’un bâtiment à l’autre pour nous faire visiter un vaste complexe à l’architecture opulente, en s’arrangeant toujours pour nous faire suivre un parcours bien balisé à travers des halls majestueux,

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