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Tarification dynamique de l'électricité : les prix plafonnés

Homme tenant une ampoule allumée
Homme tenant une ampoule allumée

La « tarification dynamique » est présentée comme le nouveau Graal par les fournisseurs en électricité qui la propose déjà. Le Danois Barry ou encore le groupe Leclerc promettent des réductions pouvant approcher les 15% par rapport aux tarifs réglementés grâce à cette tarification imposée par Bruxelles (directive européenne 2019/44 du 5 juin 2019) à tous les opérateurs de plus de 200 000 abonnés, et ce à partir de juillet 2023. Le prix varie en fonction de l’état de l’offre du marché et une application mobile permet de connaître les évolutions en temps réel. L'électricité est vendue à prix coûtant et le fournisseur se rémunère grâce à une marge incluse dans le prix de l’abonnement.

Problème, la « tarification dynamique » suscite des réticences chez les observateurs du secteur. Elle revient peu ou prou à appliquer les heures pleines / heures creuses, pourtant décriées, et à consommer la nuit et l'après-midi en priorité. « Ce n’est guère réaliste », estime l'UFC-Que Choisir. « Il est peu probable que ce type d’offres apporte au final un véritable gain », abonde le médiateur de l'énergie. Selon lui, si l’objectif est d’adresser aux consommateurs un signal prix, qui devrait les inciter à reporter leur consommation au moment où elle est la moins chère, ce qui permettrait au final de diminuer la consommation en heures de pointe... « en réalité, les clients vont être exposés à la volatilité du marché de gros, en particulier lorsqu’ils vont être à la hausse ! ».

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