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Le télétravail favoriserait les heures supplémentaires... non rémunérées

Ngampol/Adobe Stock

Les Français sont-ils heureux de faire du télétravail ? Pour la plupart, oui, et c'est d'ailleurs devenu après la pandémie de Covid-19 un critère de recrutement pour les salariés qui cherchent un poste, mais également ceux qui en ont déjà un. Dans la plupart des sondages, la flexibilité et l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle sont plébiscités. Mais certains salariés travaillent désormais bien plus chez eux qu'ils ne pourraient le faire au bureau. Du moins, lorsqu'ils télétravaillent, ils ne sont pas payés plus, relaie BFMTV.

C'est le résultat d'une étude ("People at Work 2022") menée par ADP, spécialiste de solution RH, qui révèle que quasiment deux tiers des salariés feraient du télétravail "gratuitement". C'est-à-dire qu'ils travaillent plus chez eux sans avoir des heures supplémentaires payées, ce à quoi ils pourraient prétendre au bureau. Dans le détail, ils offriraient en moyenne six heures à leur employeur, un constat quasiment égal chez les femmes (64%) et chez les hommes (63%). En revanche, ce phénomène concerne davantage de jeunes, quasiment trois quarts, contre seulement 57% des 45-54 ans.

Si l'on prend la classe d'âge 18-24 ans, les salariés travailleraient 7,8 heures de manière gratuite, contre 6,5 heures pour les 25-34 ans, et 5 heures pour les 45-54 ans. Cette étude donne également des indications sur les secteurs professionnels touchés. En tête, ceux travaillant dans les médias et l'information avec un pic à 9 heures, suivis par les professionnels (...)

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