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Succession et pension de réversion : les contrats d’assurance vie sont-ils pris en compte ?

FG Trade / Getty Images

Le décès du conjoint ne vous confronte pas seulement à la perte de l’être cher. Car avec sa disparition, s’évanouit également une partie de ses ressources financières. Fort heureusement, lorsque le défunt était à la retraite, un mécanisme prend le relais pour soutenir la personne endeuillée : la pension de réversion. Mais le versement de cette partie de la retraite qu’aurait dû toucher le conjoint disparu n’est pas automatique. Il faut la demander et respecter certains critères, notamment de ressources. Raison pour laquelle Sandrine s’adresse aux experts du “Grand rendez-vous de l’épargne” (Capital / Radio Patrimoine). Notre lectrice, qui a perdu son mari il y a peu, se demande si ses contrats d’assurance vie ainsi que ceux du couple seront intégrés dans les revenus pris en compte pour déterminer si elle a droit à la pension de réversion.

Comme le rappelle Stéphane Absolu, directeur associé chez Pyxis Conseil, “dans le régime général, la pension de réversion est soumise à des conditions de ressources. Il faut donc indiquer, au moment de la demande, le montant de ses ressources - ses revenus mais aussi son patrimoine”. Dans le cas d’une assurance vie, la règle est claire puisqu’il convient d’intégrer “un revenu fictif annuel égal à 3% de la valeur vénale des placements ou des biens immobiliers”, soit par exemple 3.000 euros de revenus supplémentaires pour un contrat d’une valeur de 100.000 euros.

Mais de quels contrats est-il question ? “Il s’agit uniquement de ceux qui constituent (...)

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