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Soudan : le général al-Burhane s’explique sur son coup de force

Le chef de l'armée soudanaise, Abdel Fattah al-Burhan, a tenu une conférence de presse ce 26 octobre 2021 à Khartoum, au lendemain de son coup d'État. 
Le chef de l'armée soudanaise, Abdel Fattah al-Burhan, a tenu une conférence de presse ce 26 octobre 2021 à Khartoum, au lendemain de son coup d'État.

Englué depuis deux ans dans une transition tuée dans l??uf, le Soudan est désormais plongé dans l?inconnu alors que la chute du régime de l?autocrate Omar el-Béchir, en 2019, sous la pression populaire et de l?armée, et la signature d?accords avec les rebelles avaient fait croire à une issue après des décennies de crises.

« Tout le pays était dans l?impasse en raison de rivalités politiques »

Accusé d?avoir « trahi » la révolte de 2019, le général Abdel Fattah al-Burhane, lors d?une conférence de presse fleuve à Khartoum, a défendu son coup de force et l?armée. Il a affirmé avoir dissous les autorités chargées de mener la transition vers un pouvoir civil et des élections, car « certains attaquaient l?armée », « composante essentielle de la transition ». En résumé, l?armée a été forcée d?intervenir pour résoudre une crise politique croissante qui, selon lui, aurait pu conduire à une guerre civile.

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« Oui, on a arrêté des ministres et des politiciens, mais pas tous », a-t-il ajouté en affirmant : le Premier ministre renversé Abdallah Hamdok est « chez moi ». Avant d?indiquer que l?homme politique serait libéré « aujourd?hui ou demain », a dit le chef de l?armée lors de sa deuxième apparition publique depuis sa prise du pouvoir.

Mais les propos du nouvel homme fort du Soudan n?ont visiblement pas rassuré.

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