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SOCIETE GENERALE : Le véritable sujet posé, c'est la valorisation des banques

SOCIETE GENERALE : Le véritable sujet posé, c'est la valorisation des banques

Les résultats de Société Générale ont été solides en 2015 avec 4 milliards d'euros de bénéfices (+49%), selon les chiffres communiqués par la banque ce jeudi 11 février. Mais malgré cela, le titre de l'entreprise est littéralement broyé sur le CAC40, lâchant plus de 12% vers 10h.

En cause, l'annonce du groupe lors de la publication de ses résultats. Société Générale a ainsi indiqué qu'elle renonçait à son objectif de rentabilité pour 2016 en raison notamment de "l'environnement économique et financier".

En temps normal, cette annonce n'aurait probablement pas autant fait chuter le titre. Mais depuis deux semaines, un climat de défiance vient frapper l'ensemble du secteur bancaire européen en Bourse. L'indice bancaire du Stoxx Europe 600 a ainsi perdu 24% depuis le début de l'année.

Néanmoins, Frédéric Oudéa, le directeur général de Société Générale, interrogé avant l'ouverture du marché sur BFM Business, s'est voulu rassurant.

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Une exposition au secteur pétrolier négligeable

Il a d'emblée balayé toute comparaison avec la crise de 2008. "La situation est différente. En 2008 on avait une importante masse de crédits à risques liés à l'immobilier américain et dissimulée dans le système financier". "Ce n'est pas le cas aujourd'hui et l'exposition liée au pétrole, seul secteur qui souffre (les autres étant plutôt bénéficiaires de ce qui se passe sur les matières premières), ne représente pas des sommes significatives", ajoute Frédéric Oudéa.

À ce titre, le directeur général de Société Générale a précisé que la dette détenue par sa banque sur le secteur pétrolier américain représentait "0,3% de nos expositions" et était donc "totalement négligeable". De même, Frédéric Oudéa a fait valoir que contrairement à la crise de 2008, les banques n'ont aucun problème de liquidités. ...

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