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SOCIETE GENERALE : Les valeurs financières à la fête, la BCE pourrait normaliser sa politique

SOCIETE GENERALE : Les valeurs financières à la fête, la BCE pourrait normaliser sa politique

Les valeurs financières s'inscrivaient mercredi en tête des hausses à la Bourse de Paris après des informations selon lesquelles la Banque centrale européenne (BCE) pourrait procéder à une diminution progressive de ses rachats d'actifs.

Vers 15h45, Axa grimpait de +3,8% à 19,7 euros, suivie par Société Générale (+3,2% à 31,9 euros), BNP Paribas (+2,5% à 47,2 euros), Natixis (+2,3% à 4,32 euros) et Crédit Agricole (+1,6% à 9,03 euros).

Les informations de l'agence Bloomberg selon lesquelles la Banque centrale européenne aurait obtenu un consensus interne sur les modalités de la sortie de sa politique d’achats mensuels d’actifs, profitent largement au secteur.

Certes la BCE a démenti, mais les rendements des obligations d'Etat française et allemande à dix ans remontent : +0,7 point de base à 0,138% pour le 10 ans français, +0,5 point de base à -0,049% pour le bund allemand, soit tout près de l'équilibre.

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En effet, si les rachats massifs d'obligations permettent de faire baisser mécaniquement les taux d'intérêt à long terme, la diminution du programme de rachat obligataire atténuerait cet effet.

Le retour à la normale, connu sous son nom d'anglais financier de "tapering", pourrait s'engager dès qu'une décision sera prise sur la date de fin du programme, aujourd'hui fixée à mars 2017.

Alors que les banques de la zone euro souffrent dans un environnement de taux extrêmement bas, Peter Praet, chef économiste de l'institution de Francfort, a reconnu mardi lors d'une conférence bancaire à Madrid que des taux d'intérêt bas prolongés pourraient causer du tort au secteur.

"La rentabilité du secteur bancaire est faible, trop faible", a-t-il déclaré. "Plus les taux d'intérêt bas persisteront, plus les difficultés seront importantes pour le secteur bancaire."

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