Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0660
    +0,0014 (+0,13 %)
     
  • Gold future

    2 405,20
    +7,20 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 997,85
    +392,91 (+0,66 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 376,05
    +63,43 (+4,83 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,34
    +0,61 (+0,74 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2370
    -0,0068 (-0,55 %)
     

Snapchat décide à son tour d'agir face aux messages de Donald Trump 'incitant à la violence raciale'

Snapchat décide à son tour d'agir face aux messages de Donald Trump 'incitant à la violence raciale'

"Nous n'allons pas amplifier des voix qui incitent à la violence raciale et à l'injustice en faisant leur promotion gratuite sur Discover", le fil d'info du réseau où les utilisateurs peuvent trouver les nouveautés, les recommandations ou encore les publications de médias ou de personnalités connues, a précisé l'entreprise. Snapchat rejoint ainsi Twitter qui a provoqué l'ire du président des Etats-Unis la semaine dernière, en mettant des avertissements sur les messages qu'il envoie à ses plus de 81 millions d'abonnés. L'un concernait la fraude électorale que Twitter estimait être de la désinformation et l'autre pouvait laisser penser que le président appelait à faire feu sur des pilleurs.

Les deux réseaux ont toutefois choisi de ne pas bannir totalement Donald Trump. Ce dernier a très mal pris les initiatives de Twitter, profitant de son audience sur le réseau pour dénoncer ce qu'il perçoit comme de la censure et une confirmation d'un biais de gauche et anti parti républicain.

L'équipe de campagne du président s'en prend à Evan Spiegel

La campagne présidentielle pour sa réélection a aussi rapidement publié un communiqué accusant Snapchat de vouloir "truquer" le scrutin du 3 novembre. "Le PDG extrémiste de Snapchat Evan Spiegel préfère promouvoir des vidéos d'émeutes d'extrême gauche et encourager ses usagers à détruire l'Amérique plutôt que de partager le message positif d'unité, de justice, de la loi et de l'ordre du président", accuse la campagne.

PUBLICITÉ

"La violence raciale et l'injustice n'ont pas leur place dans la société et nous sommes solidaires de tous ceux qui recherchent la paix, l'amour, l'égalité et la justice en Amérique", souligne Snapchat dans un courriel à l'AFP. Pendant le week-end, Evan Spiegel avait envoyé une longue lettre aux employés de Snap, la maison-mère du réseau, pour y condamner ce qu'il perçoit comme la perpétuation de l'injustice raciale en Amérique. "Chaque minute pendant laquelle nous sommes silencieux face au mal et aux injustices, nous agissons

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Intermarché et Système U continuent de progresser, Leclerc à la peine
Luc Julia, co-créateur de Siri : 'L'intelligence artificielle n'est rien d'autre qu'un marteau'
Jeff Bezos est devenu encore plus riche durant la pandémie, sa fortune atteint désormais 150 Mds$
Les Français retrouvent les hypermarchés avec le déconfinement mais freinent sur leur panier moyen
70 % des personnes infectées par le coronavirus ne l'ont transmis à personne, selon cette étude