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Santé. L’Écosse se dirige vers la “dépénalisation” des drogues dures

Confronté depuis plusieurs années à une grave crise liée à la consommation de stupéfiants, qui a atteint des sommets l’année dernière, le gouvernement local a décidé de changer son fusil d’épaule, salue ce tabloïd de Glasgow.

Dans sa “guerre contre les overdoses”, l’Écosse a effectué mercredi 22 septembre “un énorme bond en avant”, se félicite le Daily Record. Devant le Parlement écossais, l’exécutif local, dominé depuis 2007 par le Scottish National Party (SNP, nationalistes), a détaillé une nouvelle approche “ambitieuse”. Fini, les poursuites automatiques pour les personnes arrêtées en possession de drogues de classe A, dites dures, comme l’héroïne, l’ecstasy et la cocaïne.

À lire aussi: Drogues. Face au pic d’overdoses en Écosse, faut-il dépénaliser ?

En vertu du projet présenté par la Lord Advocate Dorothy Bain, chef des procureurs écossais, les personnes trouvées avec de petites quantités de drogue sur elles recevront un avertissement de la police plutôt qu’une condamnation en justice”. Surtout, les contrevenants seront considérés comme des patients plutôt que comme des criminels, ajoute le tabloïd de Glasgow.

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Avec cette nouvelle politique, ils auront accès aux soins médicaux et sociaux dont ils ont besoin pour sortir du cycle infernal de la criminalité et de la drogue.”

Une “dépénalisation qui ne dit pas son nom”

De quoi provoquer les vives critiques de l’opposition conservatrice, dont les membres ont dénoncé une “dépénalisation qui ne dit pas son nom” et réclamé un vote au Parlement sur le sujet. Au contraire, cette proposition constitue la seule manière de maîtriser enfin cette terrible crise”, estime le Daily Record, partisan depuis plusieurs années d’une approche calquée sur l’exemple du Portugal et des

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