Publicité
La bourse ferme dans 6 h 17 min
  • CAC 40

    8 056,59
    -35,27 (-0,44 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 970,71
    -19,17 (-0,38 %)
     
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • EUR/USD

    1,0728
    +0,0028 (+0,26 %)
     
  • Gold future

    2 339,70
    +1,30 (+0,06 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 740,80
    -2 175,60 (-3,51 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 359,83
    -22,74 (-1,65 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,88
    +0,07 (+0,08 %)
     
  • DAX

    17 994,37
    -94,33 (-0,52 %)
     
  • FTSE 100

    8 094,68
    +54,30 (+0,68 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 628,48
    -831,60 (-2,16 %)
     
  • HANG SENG

    17 284,54
    +83,27 (+0,48 %)
     
  • GBP/USD

    1,2520
    +0,0057 (+0,46 %)
     

Salaire, possibilité de télétravail, diplôme requis... Voici le meilleur job en 2023

Pixabay

La tech est actuellement en proie à une vague de licenciements aux Etats-Unis, mais un poste semble pour l'instant échapper à cette tendance : celui de développeur full-stack, un architecte des sites web et programmateur à tout faire qui serait, selon CNBC ce vendredi 27 janvier 2023, le meilleur job de l'année. Ce métier arriverait en tête du classement annuel d'Indeed des "meilleurs emplois" aux États-Unis. La plateforme de recherche d'emploi s'est basée sur la demande croissante de ces informaticiens dans de nombreux secteurs, sur les salaires proposés et la proportion d'emplois à distance et hybrides proposés. Plus de la moitié des offres permettent une grande flexibilité géographique, et les salaires aux Etats-Unis sont particulièrement élevés - environ 120.000 euros annuels en moyenne.

Les recrutements de ces spécialistes seraient de plus en plus nombreux : la santé, l'éducation, la finance, le commerce électronique ou encore la fonction publique embauchent à la pelle, rapporte Megan Slabinski, experte en emplois technologiques interviewée par le média américain. Ces développeurs full-stack vont travailler à renforcer la présence en ligne de leurs employeurs. Polyvalents, ils peuvent autant concevoir un programme que travailler sur le back-office, participer au codage et développer de nouvelles fonctionnalités. Et selon nos confrères, il est possible de devenir un développeur "full-stack" sans diplôme universitaire.

Car pour les recruteurs, la priorité est donnée à l'expertise (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

La semaine de quatre jours contre une baisse de salaire : un tiers des Français prêt à sauter le pas
Réforme de l’assurance chômage : les nouvelles règles d’indemnisation au 1er février
Salaire : de belles augmentations sont prévues pour 2023
Suis-je obligé de participer au pot de départ d’un collègue ?
Prendre soin de soi et de son équipe pour développer l’engagement : 2023 est l’année du management par le “care”