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Sahel. Le Mali veut négocier avec des groupes djihadistes

Le gouvernement de Bamako a annoncé mardi 19 octobre vouloir négocier avec la branche locale d’Al-Qaïda. Pour cela, les autorités maliennes ont mandaté la principale institution religieuse musulmane du pays. La revue de presse Afrique de RFI revient sur une décision lourde de conséquences pour les relations franco-maliennes.

“Au Mali, la lutte contre le terrorisme va connaître un nouveau paradigme”, pointe le site d’information Maliweb. Sans faire d’annonce officielle, les autorités de la transition ont donné quitus au Haut Conseil islamique pour négocier avec les chefs terroristes. L’option de négocier avec les groupes armés terroristes, bien qu’approuvée par l’écrasante majorité des Maliens, avait été classée dans les tiroirs par le régime d’IBK [Ibrahim Boubacar Keïta, renversé par un coup d’État en août 2020] en raison de l’opposition de l’allié français.

À lire aussi: Issue. Après les massacres au Sahel, doit-on se résoudre à négocier avec les terroristes ?

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Aujourd’hui, Bamako, en froid avec Paris, a décidé de passer à la vitesse supérieure en décidant de mettre en œuvre cette

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