Publicité
La bourse ferme dans 1 h 49 min
  • CAC 40

    8 211,06
    +6,25 (+0,08 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,91
    +4,17 (+0,08 %)
     
  • Dow Jones

    39 739,12
    -20,96 (-0,05 %)
     
  • EUR/USD

    1,0808
    -0,0021 (-0,19 %)
     
  • Gold future

    2 227,70
    +15,00 (+0,68 %)
     
  • Bitcoin EUR

    66 085,28
    +1 317,48 (+2,03 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,35
    +1,00 (+1,23 %)
     
  • DAX

    18 487,56
    +10,47 (+0,06 %)
     
  • FTSE 100

    7 960,04
    +28,06 (+0,35 %)
     
  • Nasdaq

    16 397,11
    -2,41 (-0,01 %)
     
  • S&P 500

    5 251,48
    +2,99 (+0,06 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2640
    +0,0002 (+0,02 %)
     

Sécurité: droite et extrême droite accusent d'inaction Macron, "président du chaos"

Le président Emmanuel Macron et Marine Le Pen responsable du RN lors d'une rencontre à l'Elysée, le 6 février 2019  - PHILIPPE WOJAZER © 2019 AFP
Le président Emmanuel Macron et Marine Le Pen responsable du RN lors d'une rencontre à l'Elysée, le 6 février 2019 - PHILIPPE WOJAZER © 2019 AFP

Droite et extrême droite critiquent ce lundi la nouvelle offensive d'Emmanuel Macron sur la sécurité, n'y voyant que des "slogans électoraux" après quatre années de présidence "du chaos".

Avant un déplacement lundi matin à Montpellier sur le thème de la sécurité, le chef de l'État a notamment promis dans un entretien au Figaro dimanche soir de tenir son objectif de 10.000 policiers et gendarmes supplémentaires et de mettre l'accent sur la lutte contre les trafics de drogue.

"Quand vous êtes président de la République, vous n'annoncez pas, vous faites. Il est président depuis 2017: les effectifs de police et de gendarmerie, ils sont où?", a réagi lundi matin la maire LR du VIIe arrondissement de Paris et ex-ministre de la Justice Rachida Dati sur RTL.

"Des slogans électoraux"

Pour le député LR Eric Ciotti, l'interview dans Le Figaro "ne rassemble que des slogans électoraux à un an de la présidentielle alors que depuis quatre ans les actes défaillants ont conduit à l'explosion de la délinquance, à des niveaux d'immigration records et à une montée inédite de l'islamisme", a-t-il estimé dans un tweet dimanche soir.

Nicolas Dupont-Aignan (Debout La France) a déploré lundi sur France 2 qu'il n'y ait "rien sur la justice des mineurs, rien sur des peines planchers pour les récidivistes, rien sur les rappels à la loi (...), rien sur l'expulsion des délinquants étrangers".

À l'extrême droite, la présidente du RN Marine Le Pen a jugé que "le président du chaos, de la violence partout, tout le temps, de la division, de l'injustice sociale, fiscale, territoriale, nous vend aujourd'hui 'la vie paisible'. Rien ne nous sera épargné", a-t-elle déploré sur Twitter dimanche.

De l'autre côté de l'échiquier politique, l'ex-LaREM Aurélien Taché est aussi critique, mais pour d'autres raisons: "Emmanuel Macron fait ce qu'a toujours fait la droite quand elle est en difficulté, ce que Nicolas Sarkozy a fait 10 ans avant lui. Passer sur la sécurité, la laïcité et l'immigration quitte à stigmatiser toute une partie des Français. C'est un début de campagne à droite toute!", a-t-il jugé dans un tweet.

Article original publié sur BFMTV.com