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Royaume-Uni. Des étudiants européens piégés par le Brexit

Pour les étudiants européens inscrits pour la première fois dans une université britannique, c’est la double peine : empêchés par la pandémie de rejoindre leur campus, ils risquent en outre de devoir payer des frais supplémentaires à partir de janvier 2021.

Les jeunes ressortissants européens qui ont eu l’idée de commencer leurs études dans une université britannique en 2020 mais qui n’ont pas pu rejoindre leur campus à cause de la pandémie risquent d’en être pour leur frais, rapporte The Guardian. S’ils ne sont pas en mesure de démontrer qu’ils sont arrivés dans le pays avant la fin de la période de transition déclenchée par l’accord de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne – soit le 31 décembre prochain –, il leur en coûtera 348 livres pour la demande obligatoire de visa et 470 livres par an d’assurance complémentaire santé.

“Ces étudiants n’y sont pour rien et ils sont confrontés à un choix impossible : faire fi des restrictions de voyage dues au Covid ou bien perdre leurs droits, explique Maike Bohn, de l’association the3million, sur le site de The Independent. S’ils ne peuvent pas venir avant le 31 décembre, ils perdront leurs droits en matière de résidence de longue durée, d’emploi et de prestations sociales.”

Une seule preuve de présence requise

Des preuves de résidence au Royaume-Uni sont indispensables pour être éligible au pre-settled status (statut de pré-résident) mis en place par le gouvernement britannique, qui permet à ses bénéficiaires, après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, de continuer à étudier, à travailler et à bénéficier des prestations sociales dans les mêmes conditions qu’avant le Brexit.

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“C’est un gros pépin financier pour moi, témoigne Mantas Gudelis, un étudiant lituanien inscrit à l’université d’Édimbourg qui a dû commencer les cours à distance chez lui,

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