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Roman Protassevitch apparaît lors d'une conférence de presse, "scène de Kafka ou d'Orwell"

Roman Protassevitch, le journaliste bélarusse arrêté après le détournement d'un vol RyanAir le mois dernier, est apparu lors d'une conférence de presse organisée par les autorités locales.

Une conférence de presse et un invité spécial. Lundi, Roman Protassevitch, le journaliste bélarusse arrêté après le détournement de l'avion à bord duquel il se trouvait le 23 mai, est apparu lors d'un événement organisé à Minsk par le ministère des Affaires étrangères pour évoquer cet incident qui a provoqué la colère de nombreuses chancelleries, qui ont interdit aux compagnies européennes de survoler le pays. Les autorités bélarusses ont maintenu ce lundi leur version, selon laquelle elles ont reçu un message, qui s'est finalement avéré erroné, selon lequel le Hamas avait posé une bombe à bord de l'avion. Une présentation des événements qui n'a guère convaincu, d'où la conférence de presse de ce lundi visant à faire témoigner le rédacteur en chef du média d'opposition Nexta, interpellé en même temps que sa compagne : «Je vais bien. Personne ne m'a battu, personne ne m'a touché. Je comprends les dommages que j'ai causés non seulement à l'État mais aussi au pays. Maintenant, je veux tout faire pour corriger cette situation», a-t-il notamment déclaré.

À lire :Il faut sauver le soldat Protassevitch

Toujours incarcéré, il a déclaré, cité par les médias officiels, que le centre pénitencier dans lequel il se trouve était «l'endroit le plus sûr» pour lui : «Je comprends que beaucoup de gens me considèrent comme un traitre. Alors que je n'ai trahi personne. Honnêtement, si on me proposait d'être libre maintenant, je demanderais la protection de l'État. Bien sûr, je suis dans un centre de détention en attendant mon procès, mais on m'y traite normalement. Je n'ai pas à me plaindre.»

"N'oubliez pas : il est otage"

«Ce n'est pas une conférence de presse mais une scène de Kafka ou d'Orwell», a accusé sur Twitter Franak Viačorka,(...)


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