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Alléno, Pic et Hermé : les rois de la gastronomie française pour sa Majesté Charles III

Baptiste Giroudon

Dans sa carrière, Anne- Sophie Pic a surmonté plus d’un défi technique, mais cuisiner à Versailles est pour elle une première. Ce jeudi 7 septembre, elle fait un tour du propriétaire : « Sans me mettre particulièrement la pression, j’ai préféré venir appréhender les lieux. Comprendre la lumière, la chaleur de cet espace », nous explique-t-elle. Un tel dîner se conçoit sur mesure. Chaque seconde compte. Alors, Anne-Sophie Pic chronomètre le temps qu’il faudra à son plat pour arriver dans la galerie des Glaces sur la table de Charles III. Dans ce château construit il y a trois cent cinquante ans, aucun architecte n’avait imaginé des infrastructures assez spacieuses pour préparer un tel repas.

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« Louis XIV dînait seul. Autour, tout le monde le regardait. Donc il n’y avait pas besoin de grandes cuisines », explique l’intendant de l’Élysée. La galerie de Pierre haute – qui a l’avantage d’être l’une des seules pièces sans parquet pouvant accueillir le personnel de l’Élysée ainsi que les brigades des chefs invités – fera donc office de cuisine d’appoint. Les assiettes y seront dressées avant d’être envoyées. « Mais je vous rassure, on n’épluchera pas les légumes à Versailles, le travail préparatoire se fera en amont, pour des raisons logistiques », ajoute Fabrice Desvignes, chef de l’Élysée, aux manettes d’un dîner qu’il imagine déjà comme « le clou de cette première jour...


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