Revenus fonciers : bien choisir son régime d’imposition
Les revenus fonciers sont les revenus qu’un propriétaire obtient de la location de biens immobiliers qu’il possède.
Les revenus fonciers globaux sont soumis à l’impôt et doivent être déclarés dans la catégorie des revenus fonciers dans la déclaration de revenus du propriétaire.
Sont concernés les revenus provenant de la location d’un logement nu, imposables au barème progressif dans la catégorie des "revenus fonciers".
Ce type de revenus est généré par la mise en location de propriétés (à l’année ou saisonniers) de biens immobiliers, tels que :
Attention, pour les biens loués meublés, les revenus sont imposables dans la catégorie des revenus industriels et commerciaux.
Les revenus fonciers sont soumis à l’impôt et doivent être déclarés dans la déclaration de revenus du propriétaire contribuable.
Par défaut, les loyers sont soumis au régime fiscal dit "microfoncier", mais le contribuable peut opter sur sa déclaration de revenus pour le régime réel, certes plus complexe à mettre en place, mais beaucoup plus avantageux si vous supportez de lourdes charges, notamment en cas de gros travaux.
Le prélèvement à la source des impôts fonciers, via un système particulier d’acomptes automatiques, ne change strictement rien à l’affaire : au printemps de chaque année, vous devez déclarer vos recettes définitives au fisc, qui procède aux régularisations qui s’imposent dans les mois qui suivent.
Une nouvelle obligation déclarative est mise en place pour les propriétaires de biens immobiliers (personnes (...)
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