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Le retour du débat sur la politique migratoire au Parlement inquiète la majorité

Voilà qui pourrait tendre encore un peu plus une majorité déjà échauffée. Le 16 décembre, le débat ­annuel "sur la politique ­migratoire de la France et de ­l'Europe" fera son grand retour à l'Assemblée nationale, et le lendemain au Sénat. Un rendez-vous que la Macronie redoute. Parce que le sujet est d'autant plus inflammable depuis les images de l'évacuation violente, lundi soir, d'un camp de migrants de la place de la République à Paris. Parce que les relations entre la majorité et le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, se sont dégradées.

Et, aussi, parce que ces débats auront lieu une semaine après la présentation en Conseil des ministres du projet de loi contre les "séparatismes", sujet que de nombreux Marcheurs veulent à tout prix éviter de mélanger avec celui de l'immigration.

Le risque du raccourci

D'où la nécessité, selon un cadre du groupe, d'avoir "des débats plus larges que ceux liés aux procédures d'immigration et aux enjeux sécuritaires". Comme l'année dernière, d'autres portefeuilles ministériels, outre l'Intérieur, seront représentés. Devraient s'exprimer, en plus du Premier ministre, Jean ­Castex, Gérald Darmanin, mais aussi Jean-Yves Le Drian (Europe et Affaires étrangères) et Élisabeth Borne (Travail). Ces multiples prises de parole présentent l'avantage d'éloigner les projecteurs du locataire de Beauvau, dont le positionnement sur la proposition de loi relative à la sécurité globale "n'a pas mis les députés dans les dispositions les plus pacifiques e...


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