Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 857,32
    +81,94 (+0,22 %)
     
  • EUR/USD

    1,0645
    -0,0001 (-0,01 %)
     
  • Gold future

    2 405,70
    +7,70 (+0,32 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 838,54
    -161,68 (-0,27 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 378,82
    +66,20 (+5,04 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,97
    +0,24 (+0,29 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 315,22
    -286,28 (-1,83 %)
     
  • S&P 500

    4 968,29
    -42,83 (-0,85 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2381
    -0,0058 (-0,46 %)
     

Comment repérer un potentiel troll du Kremlin

Le Royaume-Uni accuse la Russie d’être à l’origine d’une vaste campagne de trolls, destinée à harceler et désinformer les utilisateurs des réseaux sociaux. Plusieurs indices vous permettent d’identifier des profils créés uniquement pour relayer la propagande.

La Russie mène des campagnes de trolls sur les réseaux sociaux pour harceler des personnalités ou désinformer la population selon un communiqué publié par le gouvernement britannique ce dimanche 1er mai. Depuis 2016 et l’élection de Donald Trump, le Kremlin est régulièrement accusé de noyer les réseaux sociaux sous des millions de commentaires pour soutenir sa politique. Il n’est donc pas étonnant d’apprendre que la Russie mènerait une nouvelle guerre de l’information pour justifier son invasion de l’Ukraine. L’agence pour la recherche internet (Internet Research Agency) est d’ailleurs une organisation russe fondée en 2013 avec pour unique but de relayer la propagande du régime.

Selon les Britanniques, la chaîne Telegram « Cyber Front Z » serait au cœur de ces manœuvres et appelle quotidiennement à harceler les comptes de célébrités ou de politiques qui dénoncent l’invasion. Parmi les dirigeants visés, le premier ministre britannique Boris Johnson, le chancelier allemand Olaf Scholz, mais également des célébrités à l’instar des Daft Punk, David Guetta et le groupe de métal allemand Rammstein.

PUBLICITÉ

Ces trolls agissent sur tous les médias, Facebook, Instagram, YouTube, Tiktok, Twitter et reçoivent des directives précisent pour intervenir sur un sujet, selon le communiqué.

Peut-on déterminer à coup sûr qu’un compte a été créé dans le but de relayer la propagande du Kremlin ?

[Lire la suite]

Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/