«La rentrée est à haut risque, en particulier en France», le CAC 40 risque de plonger
Comme chaque année, la rentrée de septembre suscite toutes les inquiétudes. En effet, l'être humain est ainsi fait qu'il se pose en permanence des questions qui sont souvent sources d'appréhension. Ainsi, après le «break» de l'été et l’enthousiasme des JO, c'est désormais le moment de remettre les pendules à l'heure et peut-être aussi de se remettre en question. Pour les jeunes bien sûr, qui se demandent à quelle sauce ils vont être mangés pendant leur année scolaire, mais aussi pour les adultes qui s'interrogent sur leur avenir personnel et professionnel, et bien sûr pour les entreprises et les investisseurs qui s’inquiètent sur leurs perspectives d’activité.
Face à ces inconnues, deux comportements sont possibles : soit l'espoir du renouveau, soit la crainte d'un avenir difficile. Depuis 2009 aux Etats-Unis et à partir de 2015 dans la Zone Euro, puis avec une largesse mondiale incroyable à partir de 2020, les banques centrales ont usé à l’excès de la «planche à billets», finançant une dette publique de plus en plus extravagante. Face à ces excès inextinguibles, les investisseurs, analystes et finalement le «monde entier» se sont mis à croire que le ciel n’avait plus de limite. Dans ce cadre, une sorte d’aveuglement collectif s’est installé, permettant notamment à la Bourse de flamber et aux taux d’intérêt des obligations d’Etat de s’effondrer et devenant même parfois négatifs, en dépit de dettes publiques pléthoriques.
Malheureusement, ou peut-être heureusement, tous les excès (...)
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