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Radicalisation dans le sport : 27 cas de « dérives séparatistes » ont été identifiés, indique Amélie Oudéa-Castéra

Xose Bouzas / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

Face au phénomène de la radicalisation dans le sport français, la Première ministre Élisabeth Borne annonçait en juin dernier un « renforcement des contrôles » dans les clubs, affirmant que le Gouvernement n’hésiterait pas à fermer ceux « qui promeuvent une idéologie radicale ou séparatiste ». Invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra est revenue en détail sur le danger de la croissance du séparatisme dans les clubs et les associations sportives.

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Sur l’année 2022, près de 3 500 contrôles ont été effectués dans les clubs sportifs, « avec 27 identifications de dérives séparatistes, c’est-à-dire 0,8 % », a précisé la ministre des Sports. « C’est toujours 0,8 % de trop », a-t-elle souligné, assurant pourtant que les chiffres sont à la baisse. Et pour preuve, selon Amélie Oudéa-Castéra, les fiches actives du Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste « sont passées de 1 000 en 2019 à 550 en 2022 ».

Un renforcement des contrôles en 2023

Si l’ancienne joueuse de tennis se veut rassurante, celle-ci assure toutefois que le Gouvernement prend ce phénomène très au sérieux. « Nous avons aujourd’hui 117 référents sur la radicalisation dans les services déconcentrés, et 23 dans les établissements du ministère », a-t-elle assuré, se félicitant d’avoir obtenu « des effectifs supplémentaires pour mener à bien tout...


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