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Comment les réseaux sociaux ont accéléré l'effondrement de la Silicon Valley Bank

Jacques Gaimard/Pixabay

Des messages inquiétants sur Twitter, des discussions angoissantes sur WhatsApp, et dans une moindre mesure la généralisation de la banque en ligne, ont participé à l'effondrement précipité de Silicon Valley Bank (SVB) et Signature Bank. Les deux établissements ont été victimes de retraits massifs de la part de leurs clients, un phénomène de panique bancaire existant depuis longtemps et qui s'est souvent illustré par de longues files d'attente devant des agences. Cette fois-ci, tout semble s'être joué en accéléré.

La prise de contrôle de SVB par les autorités vendredi est intervenue moins de 48 heures après l'annonce par la banque d'une première mauvaise nouvelle. Elle a été suivie deux jours plus tard par la fermeture forcée de Signature Bank. Entre les deux, des entrepreneurs reconnus sonnaient l'alarme ou prodiguaient des conseils sur Twitter, à l'instar de l'investisseur Bill Ackman avertissant sur le réseau social samedi: "Si la FDIC (un régulateur bancaire, ndlr) ne garantit pas l'ensemble des dépôts, d'autres paniques bancaires démarreront lundi matin". "VOUS DEVRIEZ ETRE ABSOLUMENT TERRIFIES", a aussi tweeté le même jour un investisseur spécialisé dans la tech, Jason Calacanis. Des créateurs de start-up s'échangeaient les dernières rumeurs sur des groupes WhatsApp.

"Le mélange de technologies et de rumeurs qui se propagent rapidement a alimenté une crise d'une rapidité sans précédent", estime Jonathan Welburn, chercheur au centre de réflexion Rand. Certes il était déjà (...)

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