Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 754,96
    -5,12 (-0,01 %)
     
  • Nasdaq

    16 373,16
    -26,36 (-0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • EUR/USD

    1,0800
    -0,0029 (-0,27 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 375,15
    +1 236,46 (+1,93 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • S&P 500

    5 250,20
    +1,71 (+0,03 %)
     

Régionales: Jean-Michel Blanquer assure ne pas avoir "le temps" d'être candidat en Île-de-France

Jean-Michel Blanquer à l'Assemblée nationale, le 19 janvier 2021 - Stéphane de Sakutin
Jean-Michel Blanquer à l'Assemblée nationale, le 19 janvier 2021 - Stéphane de Sakutin

Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a jugé peu probable ce lundi une éventuelle candidature en tant que chef de file LaREM pour les élections régionales en Île-de-France, affirmant être "accaparé par la crise sanitaire".

"Un travail collectif a eu lieu dans la majorité pour les régionales, c'est probablement sans moi que ça a vocation à se passer", a-t-il dit sur LCI. "C'est très probable que je ne sois pas candidat".

"Chacun voit bien que je suis accaparé par la crise sanitaire, j'ai aussi des réformes très importantes à mener, notamment le Grenelle de l'éducation, je n'ai pas de temps pour les processus électoraux", a justifié le ministre.

PUBLICITÉ

Le rapporteur général du budget à l'Assemblée, Laurent Saint-Martin (LaREM), a déclaré dimanche sur Radio J être sur les rangs pour conduire la majorité aux régionales en Île-de-France si Jean-Michel Blanquer venait à renoncer à le faire.

"Faire émerger quelqu'un d'autre"

"Nous sommes tout un collectif autour de Jean-Michel Blanquer (...) J'ai proposé, si mes collègues et si les autres forces politiques de la majorité présidentielle trouvaient que cela avait un sens, de ramasser le drapeau, de devenir le chef de file, après Jean-Michel Blanquer. Si cela convient au collectif (...) je le ferai", a déclaré Laurent Saint-Martin.

Le ministre de l'Éducation nationale avait fait début décembre un pas décisif pour se soumettre pour la première fois au scrutin populaire en devenant le chef de file de LREM pour la campagne en Île-de-France.

Mais ses déclarations publiques entretenaient le doute sur ses intentions. "Je serais très heureux d'arriver à faire émerger quelqu'un d'autre que moi", avait-il expliqué.

Article original publié sur BFMTV.com